Lors de son intervention télévisée du mardi 31 décembre 2024, Marc Ravalomanana, ancien président de la République et figure emblématique de l’opposition, a dressé un tableau sombre de la situation socio-économique actuelle dans le pays. S’adressant à la population à l’occasion de la fin d’année, il n’a pas caché son amertume face à ce qu’il qualifie d’« extrême pauvreté qui fait souffrir la majorité de la population ». « Cette année 2024 a été une année très difficile pour le peuple malgache » a-t-il martelé.
Terrorisme d’Etat
Fidèle à son style direct, Marc Ravalomanana a critiqué le gouvernement en place, l’accusant de mettre en œuvre un « terrorisme d’Etat » pour régner dans le pays. Il a souligné les failles structurelles et organisationnelles qui, selon lui, ont plongé Madagascar dans une « situation de peur et d’inquiétudes ». Selon toujours l’ancien président de la République, « le chômage et l’insécurité » sont des maux qui accentuent les difficultés quotidiennes de la population. Et en 2025, « la situation économique risque de s’empirer » projette Marc Ravalomanana.
Coup d’Etat
Dans son discours, Marc Ravalomanana est revenu sur les élections municipales et communales récentes, qu’il a torpillées. Pour lui, les irrégularités constituent une « menace » pour la démocratie. « Une situation inédite et inacceptable », a-t-il martelé, appelant ses militants au sein du parti Tiako i Madagasikara à « rester fidèle à la vérité » et de « la défendre ». « Les textes en vigueur sont foulés aux pieds » dans le cadre de ce processus électoral, selon toujours Marc Ravalomanana. Il a aussi sauté sur cette occasion pour dénoncer l’arrestation de son mandataire auprès de la Commission électorale nationale indépendante. Le président du parti TIM nie l’accusation selon laquelle son représentant aurait fomenté un coup d’Etat.
Solidarité
Malgré ce constat alarmant, Marc Ravalomanana a exhorté les citoyens à « unir leurs forces » et à faire preuve de solidarité pour lutter contre la pauvreté et les injustices. Ce discours s’inscrit dans la continuité des prises de position de Marc Ravalomanana, qui s’impose comme une voix critique face à l’administration actuelle. Avec cette intervention, il cherche à mobiliser ses partisans et à renforcer sa posture en tant que leader de l’opposition dans un contexte politique de plus en plus polarisé.
Rija R.
Oui mais,
Un parti n’est pas fait pour vous servir vous, votre femme, vos enfants et vos seuls intérêts Monsieur Ravalomanana. Sinon, ça s’appellerait milice et non parti.
Si vous avez été sage et si vous aimez vraiment Madagascar comme vous le prétendez, vous auriez fait émerger des nouvelles personnalités pour défendre votre idéologie, mener le combat et vous, et votre famille, vous mettez en retrait, en soutien.
Mais non, votre égoïsme est plus fort que vous : C’est toujours vous. Si vous êtes empêché, c’est votre femme ou votre fils que le parti doit servir….. et bientôt le parti servira les intérêts vos petits enfants.
Vous ne pouvez pas acheter tout le monde pour vous suivre et vous servir éternellement. Ce n’est pas comme ça que ça marche. ça ne doit marcher que par adhésion à une idéologie et non par intérêt personnel, temporaire et financier. Mais ça, je doute que vous le comprendrez un jour.
Mon cher monsieur ou peut-être ma chère dame,
En cette veille de Fêtes de Pâques 2 025, je me permets enfin de répondre à vos inepties datant
du 02/01/2 025. Nous n’avons aucune leçon à prendre de gens qui ne vivent que de Prédations d’Etat
actuellement, sans oublier qu’autant d’attitudes néfastes et malhonnêtes de personnes qui se prétendent
être de Dirigeants emplis de BONNE VOLONTE pour le pays et animés d’un Patriotisme sans précédent,
ne comptez pas sur moi pour acquiescer ce genre de fictions inadaptées aux Réalités de 31 M
de Malagasy qui vivent dans la pleine misère depuis près de 8 ans maintenant…!
Voilà, pour ce qui est du Décor à planter pour l’heure, pour ce qui est de l’Egoïsme de Sir. Marc RAVALOMANANA,
je n’adhère pas à cette idée farfelue, étant donné que j’avais pu être moi-même Témoin d’Actes d’Altruisme de
sa part sur la Côte d’Ivoire lorsqu’il avait fallu ‘EXFILTRER’ 67 Ressortissants de chez nous, dans la post Crise Politico-Militaire Ivoirienne en Mars 2 004. Il avait été malgré tout les récupérer bel & bien à ses risques et périls au vu du contexte très tendu du moment sur Abidjan entre les différentes factions Ivoiriennes en plein conflit interne.
Pour ce qui est de la situation socio-économique de Mada sous sa Gouvernance (de juillet 2 002 au 17 mars 2 009, jour de coup d’Etat en tant que tel) à Sir. Marc RAVALOMANANA, nous ne reviendrons pas dans les détails de l’économie florissante Malagasy année après année qu’il avait conduite d’une main de Maître, et ce constatée par des Observateurs Internationaux du Monde Entier bien avisés sur les questions Macro-économiques d’un pays !!!
Un Madagascar proche d’un décollage économique imminent pour la période 2 009 – 2 010…Bref !
Pour la suite des événements Politiques de cette période-là, nous les avions tous gardés quelque part
dans le coin de nos esprits à tout à chacun. Inutile de revenir là-dessus tout de suite.
En conclusion, pour bien vous répondre sans circonvolution aucune suite à vos commentaires
gratuits et sans fondement à l’endroit de l’Ancien Président de la République, qui avait fait beaucoup DE BIEN
et était parvenu à diffuser un REEL BIEN-ÊTRE à un peu moins de 27 M d’habitants à l’époque, je vous
invite à réviser rapidement vos envies de dire du Mal de quelqu’un qui avait, et je le redis encore une fois,
fait beaucoup de BIEN à tant de Concitoyens Malagasy sous sa Gouvernance.
A cette époque très heureuse de Madagascar, toutes les Chancelleries Occidentales sur place chez Nous,
y comprises celles qui sont originaires d’Asie, ne cessaient de LOUER chaque jour les efforts de SERIEUX &
de TRAVAIL des Dirigeants en place sous le Régime de Sir. Marc RAVALOMANANA.
J’espère qu’un jour également, vous auriez l’Honnêteté Intellectuelle de le reconnaître également
cet état de faits vérifiés et vérifiables jusqu’à ce jour, mais j’en doute fort que vous ayez la faculté de
le faire.