
L’adaptation des vies de la population constitue l’un des meilleurs moyens mis à disposition pour faire face aux effets des changements climatiques. Ces derniers touchent, en effet, aussi bien les zones côtières que les hautes terres. Une situation qui a pu permettre la mise en place de différentes mesures telles que le Projet d’Adaptation de la gestion des Zones Côtières ou PAZC. Tenant compte de l’amélioration des écosystèmes et des moyens de subsistance, ledit projet intègre « les volets changements climatiques dans les stratégies et plan d’action national de la Gestion intégrée des zones côtières ». Une façon pour le PAZC d’adopter une approche de développement pour une meilleure résilience dans les quatre zones d’interventions que sont : Atsinanana, Boeny, Menabe et Vatovavy Fitovinany.
Avancée. La signature du protocole entre le ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts et le Comité National de Gestion des Zones Côtières (CNGIZC), hier, constitue un grand pas dans l’optique de réalisation de la politique nationale de la gestion intégrée des zones côtières. Ladite politique ne pouvant être faite sans le Plan d’Action National de la Gestion Intégrée des Zones Côtières. Ledit plan actuellement obsolète et dont la mise à jour constitue l’objectif de la collaboration entre les deux entités.
José Belalahy