L’ancien membre du Congrès de la Transition, Raveloson Constant, a parlé du cas du président en exil, hier, au Magro Behoririka. « Le président Ravalomanana, quand il va revenir au pays, n’est plus le chef suprême des forces armées, alors pourquoi parler de vengeance ? s’est-il demandé. Et lui d’enchaîner que « c’est une honte d’avoir peur du retour du président de Marc Ravalomanana ». Toujours à propos de ce retour, « c’est également une honte de déclarer qu’on va voir dans les 6 mois à venir », a-t-il soutenu. Cet animateur de service au Magro Behoririka de souligner aussi : « Si nous n’étions pas venus ici, c’est que nous ne voulions pas faire des polémiques. D’ailleurs, nous ne sommes pas obligés de venir ou de ne pas venir. Si je suis ici, c’est pour apporter ma contribution pour le compte du président Ravalomanana ».
Dominique R.