La pandémie de Covid-19 a vu la promotion de l’utilisation des huiles essentielles. Une promotion lancée par les communications officielles favorisant les remèdes traditionnels. «Si leurs efficacités ne sont pas contestées, beaucoup de personnes ont contracté des pathologies liées à l’utilisation des huiles essentielles», constate Casimir Tolojanahary, secrétaire général auprès de l’APAROMA ou Association Professionnelle des Aromathérapeutes de Madagascar. Cet organisme prend l’exemple de l’insuffisance rénale, des maladies du foie ou encore des fausses couches chez les femmes enceintes. Une séance d’informations, de sensibilisation et de formation sur les huiles essentielles est concoctée par la collaboration entre l’APAROMA et l’entreprise Kamely, le 23 mai prochain. Une initiative qui «vise à partager le maximum d’informations essentielles sur les généralités des huiles essentielles, les précautions et contre-indications à connaître», note l’association APAROMA.
Recueillis par José Belalahy
Mille fois se fier aux vertus du kininimpotsy evpka et du ravintsara en friction contre les formes légères du COVID que le CVO ridicule à jeter dans les chiottes car 3 fois plus de risque de maladie rénale et du foie avec l’Artémisia !