La 5e édition du salon des métiers du tourisme a débuté hier au jardin d’Antaninarenina. Un salon qui se rapproche du grand public, et qui s’adresse particulièrement aux jeunes, ainsi qu’à tous ceux qui veulent travailler dans le monde du tourisme.
Première journée un peu calme pour la 5e édition du salon des métiers du tourisme, organisée par l’Ortana en partenariat avec le Conforth (consortium des organismes nationaux de formation en restauration, tourisme et hôtel), regroupant les centres de formation dédiés au secteur tourisme, répondant à certains critères. Un salon qui a ouvert ses portes hier au jardin d’Antaninarenina, et qui s’y tiendra jusqu’à demain. Ainsi, plusieurs stands, des établissements de formation qui ont dans leurs cartes, une filière tourisme et hôtellerie, sont à la disposition des passants et des visiteurs, flyers et brochures à l’appui. Car dans ce salon, les organisateurs se veulent rassurants envers les étudiants, puisqu’ils ont le choix de leurs formations, mais aussi envers les parents, car les organisateurs garantissent que tous ces centres de formation sont de bonne qualité. Ils ont le même cursus et le même programme, la seule différence se trouve dans la façon de faire de chacun. Par ailleurs, le salon s’adresse au grand public, comme pour confirmer que le tourisme est un secteur porteur.
Etudier, avec ou sans le bac. Visant à regrouper dans un seul endroit les établissements de formation proposant des offres concernant toutes les filières du tourisme, ce salon s’adresse aux jeunes qui viennent de passer les examens officiels du BEPC et du baccalauréat, et qu’ils l’ont réussi ou non, qu’il y a une vraie carrière à tracer dans ce domaine en perpétuelle expansion. Car les jeunes ont besoin de se donner des ambitions dans la vie professionnelle, et se doivent de s’informer sur la carrière qu’ils envisagent de faire plus tard. Dans le secteur du tourisme, les possibilités sont énormes et les filières sont diversifiées. Et avec ou sans diplôme en poche, les jeunes peuvent toujours étudier, et obtenir un certificat qui leur permet d’intégrer le marché du travail.
Anjara Rasoanaivo
