
Des techniciens des dix pays (Somalie, Kenya, Tanzanie, Mozambique, Afrique du Sud, les États insulaires des Seychelles, la France (Réunion), Madagascar, les îles Comores et Maurice) membres de la convention de Nairobi pour la protection, la gestion et le développement de l’environnement marin et côtier de la région de l’Afrique de l’Est sont actuellement dans nos murs. Ce, dans l’objectif de se « mettre d’accord sur les négociations et d’aboutir à un amendement du protocole sur les aires protégées et la faune et la flore sauvages dans la région de l’Afrique de l’Est ». Il conviendrait de noter que la Convention de Nairobi pour la protection, la gestion et le développement de l’environnement marin et côtier de la région de l’Afrique de l’Est, ainsi que le Protocole relatif aux aires protégées et à la faune et à la flore sauvages (Protocole SPAW) dans la région de l’Afrique de l’Est et le Protocole relatif à la coopération dans la lutte contre la pollution marine en cas d’urgence (Protocole d’urgence) dans la Région de l’Afrique de l’Est ont été promulgués à Nairobi le 21 juin 1985. Avec le protocole pour la protection de l’environnement marin et côtier de l’océan Indien occidental (protocole LBSA) adopté en 2010, « ces instruments constituent collectivement le cadre juridique régional pour la protection et la conservation de l’environnement marin et côtier de la région de l’Océan Indien Occidental (OIO) ». Pour en revenir à la réunion qui se déroule actuellement à Antananarivo, l’événement rentre dans le cadre de la présidence de la Convention de Nairobi par Madagascar.
Recueillis par José Belalahy