L’humidité ambiante depuis les épisodes successifs de pluies a eu raison des rues d’Antananarivo, en état de dégradation dans quasiment tous les quartiers et ralentissant considérablement la fluidité de la circulation.
Les usagers des rues de Tana souffrent. L’état des infrastructures routières se dégrade depuis quelques semaines, principalement à cause de la pluie. Les nids de poule, devenus des nids… d’autruche ne sont pas sans conséquences sur la circulation dans la capitale. L’humidité prolongée étant la plus grande ennemie du bitume, la situation actuelle des rues de Tana est la conséquence des précipitations qui se sont succédé.
L’ampleur des dégâts se mesure, entre autres, sur le ralentissement de la circulation, lequel a tendance à se généraliser, aggravé par le flux de véhicules, en augmentation en cette période de veille des fêtes de fin d’année. Pour la ville d’Antananarivo, la Route circulaire desservant l’axe Rasalama, passant par Bel’Air et Antsakaviro ; l’axe Ankorondrano au niveau du tronçon Ivandry ; l’axe Ankadifotsy, Ankaditapaka et Behoririka au niveau de l’école primaire Saint François Xavier ; ainsi que l’axe 67ha et celui de Manakambahiny, pour ne citer que cela, figurent parmi les plus affectés par les effets de l’excès d’humidité. En effet, les rues sont quasiment toutes, inondées durant les averses, et dans certaines localités, les eaux pluviales mettent quelques heures avant de se retirer. Assez pour causer des dégâts sur les chaussées.
Toutefois, on observe, depuis la mi-novembre, quelques récents chantiers de réfection dans certaines localités peu concernées par les inondations, entre autres, à Anjohy ou encore à Analakely près des arcades.
La dégradation des infrastructures routières dans la capitale est un scénario qui se répète tous les ans, à chaque saison pluvieuse. Les travaux de réfection d’envergure ne se font généralement qu’après celle-ci. Seuls les points noirs, plus gravement touchés font l’objet d’une réfection d’urgence. Les usagers devront ainsi prendre leur mal en patience, avec son lot de conséquences sur la fluidité de la circulation.
Hanitra R.
y a qu’à faire des autoroutes urbaines …….c’est la grande mode présidentielle actuellement !
Parce que les autres sont meilleures ?
avec TGV… tana aura son métro, son tram, son ter avec des locomotives d’occasions espagnoles sans frein..et m^me un téléphérique