A l’instar des autres partis et autres associations, l’Arema a également célébré, hier à Faravohitra, la Journée internationale des femmes. Celles-ci étaient au nombre de 300 à cette occasion. La Secrétaire nationale de l’Arema, Annick Ratsiraka, a déclaré lors de son intervention que son parti a depuis longtemps lutté pour les droits de la femme. Et cela est inscrit noir sur blanc dans le « Boky mena » [le Livre rouge] que « les femmes constituent un des piliers de la révolution du temps où Didier Ratsiraka a dirigé le pays », a-t-elle rappelé. « Et actuellement, c’est une femme qui est la Secrétaire nationale du parti ». Sur le plan politique, l’Arema a fait savoir qu’il ne va apporter son soutien à aucun candidat lors des prochaines élections. En revanche, il va y présenter des candidats. Avec ses 47 ans d’existence cette année, car l’Arema a été fondé le 19 mars 1976, le parti a formé un grand nombre de personnes qui sont et seront en mesure d’apporter leur savoir-faire pour le développement du pays. Toujours à propos des élections, la Secrétaire nationale a indiqué que « beaucoup se demandent si elles auront lieu ? Ou encore où trouver de l’argent ? ».
Recueillis par Dominique R.
Les actualités de l’année en cours et celles du jour ne constituent pas mécaniquement une mise mise à jour des partis politiques et de leurs structures.
Les coups de regard rétrospectif jetés par ci et par là semblent s’arrêter au titre : Mi-figues, Mi-raisins ! dans leur ensemble de gouvernance.
Quand le » revirevinay taloha » revient au-devant de la scène!!! Demain sera un autre jour.