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dimanche, décembre 15, 2024
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FFKM : Rencontres avec les forces vives à partir de ce jour

Quatre rencontres sont au programme pour le FFKM ce jour.

Le Conseil œcuménique des Églises chrétiennes de Madagascar veut prendre les choses en main. Ce jour, à l’Institut d’Etude Politique à Ampandrana, des rencontres sont au programme. Raymond Ranjeva, les représentants de la Commission Électorale Nationale Indépendante, les représentants du Système des Nations Unies, ou encore l’ambassadeur de France à Madagascar sont parmi ceux que les responsables d’églises vont recevoir successivement. Il s’agit d’une simple consultation qui durera une heure pour chacune des rencontres. A moins de neuf mois du premier tour de la présidentielle, les choses politiques feront probablement l’objet d’une large discussion durant ces quatre heures, même en l’absence des partis politiques. Ces derniers devraient encore attendre leur tour.

Il faut néanmoins souligner que le FFKM souhaite organiser une assise au mois d’août. Il s’agit de l’ultime étape d’un processus qui commencera dès la fin de ce mois de mars. En effet, les présidents des faritany FFKM, au nombre de 35 dans tout le pays, se réuniront les 29, 30  et 31 mars, à Antananarivo, afin de préparer les consultations dans les faritany FFKM. Après, au mois de mai, une rencontre entre les présidents des faritany FFKM se tiendra à Antananarivo. Et, pour le bouquet final, la réunion avec les « enfants du FFKM » au mois d’août, dans la Capitale.

Julien R.

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3 Commentaires

  1. Bonjour, ces rencontres ne sont que les plus souhaités. Nous espérons beaucoup de choses de la part du FFKM à savoir: PRONER POUR LA VERITE, RIEN QUE LA VERITE. Bien que ce soit un organisme de consultation, je pense qu’il doit faire montre de rigueur et de courage, POUR LA POPULATION QUI SOUFFRE EN SILENCE ET SUBIT LES COUPS DES DIRIGEANTS! POUR LA POPULATION QUI NE SAIT PLUS A QUEL SAINT SE VOUER CAR EN FACE, IL N’Y A QUE DES SANS SCRUPULES ET SANS VERGOGNE.
    Pour le suivi des élections, cela ne devrait pas poser trop de problèmes car dans chaque district, chaque fokontany, il y a au moins une église.

  2. Le mélange de la religion avec la politique n’est pas un signe de développement. On se retrouve des siècles et des siècles en arrière

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