Les adversaires de Andry Rajoelina ont fait le tour de la capitale ces derniers jours pour rencontrer d’autres acteurs. Hier, les candidats ont été invités par les organisations de la société civile pour une séance de travail à Ankerana durant la matinée. Les élections ont été au menu et la mise en place d’un climat favorable à la tenue des prochains scrutins présidentiels. Seul le candidat Andry Rajoelina n’a pas été représenté lors de cette rencontre. La majorité des candidats reste convaincue qu’une crise guette le pays avec les conditions actuelles de préparation des élections, notamment sur la liste électorale, les obstructions aux manifestations politiques, les violations de certaines dispositions de la Constitution. « Une perte de confiance des organismes en charge des élections » est partagées par les politiciens à l’occasion de cette réunion à Ankerana. Les représentants de la société civile, en revanche, dont certaines têtes sont déjà connues comme Haritiana Ralevason, Ketakandriana Rafitoson, Lilie Razafimbelo, ont exposé leurs préoccupations sur la nécessité d’un « dialogue constructif pour éviter la crise ». A l’issue de cette séance de travail, les participants ont évité de faire une déclaration publique.
Rija R.
Au moins à la rigueur par rapport au cirque à Ivato CCI avec des têtes répugnantes , le niveau des échanges avec la société civile était intellectuellement valable !
La coterie dite Société Civile montre ici son Visage Politique et Politicien en venant là faire acte d’allégeance et troquer sa casquette de Neutralité ou de Nature Apolitique selon ses propres statuts.
Le bigleux – non engagé- est en mesure d’observer ceci.
Rassembler meutes et barbeaux et Engager un jeu sournoisement collectif sinon moutonnier en vue d’ un derby individuel est ostensiblement une manifestation aigue d’ un pesant de Manque; En programmation, en assurance de soi, en developpement, en vision d’ intérêt collectif, en ambition, en capacité…etc.
La société civile bien plus intelligente et capée a l’air d’enrager le « vendu » avec ses minables complexes ! Lasa izao , j’aime !
Le code des Désidératas ne peut surseoir à l’application du Code de Procédure de Justice. Sauf acte irraisonné. Sauf vent de régression. Sauf de l’EGO omnipotent ; et en dépit de toute bousculade en nombre au portillon du Palais .
Non à l’Anarchie !