
Une saison qui n’est pas prête de finir. La qualité de l’air à
Antananarivo est généralement restée malsaine. Les premières
personnes concernées sont celles qualifiées de « sensible à la
pollution de l’air ». Dans un bulletin publié hier, la direction
générale de la météorologie (DGM) informe les citoyens que les
concentrations des particules fines PM2.5 restent trois fois
supérieurs au seuil recommandé par l’Organisation Mondiale de
la Santé. Ainsi, les conditions météorologiques devraient rester
favorables à l’accumulation des polluants et la qualité de l’air
pourrait rester malsaine pour les personnes sensibles pendant
les trois prochains jours. La lecture des bulletin de la direction
générale de la météorologie fait savoir que du 23 au 25 de ce
mois, la qualité de l’air allait de malsaine à très malsaine. Les
concentrations de particules fines étant passées à plus de 55
microgramme par mètre cube. Le seuil de l’Organisation
Mondiale de la Santé étant de quinze microgramme par mètre
cube. Les zones les plus touchées par ces pollutions sont quant
à elles : à Ampandrana (au niveau de la DGM ), Andraharo
(UNICEF), Soanierana (CNRE), Antsakaviro (MADA-AQ),
Ambohidahy (Ministère de la santé publique) et Andranomena
(Ambassade des Etats-Unis).
Recueillis par José Belalahy