Le nouveau bureau de l’association FIZATO ou Fikambanan’ny Zanak’i Toamasina vient de prendre officiellement place après une période transitoire dirigée par trois co-présidents.
« L’objectif principal du nouveau bureau de l’association FIZATO est de tout faire pour restaurer la solidarité des natifs du Faritany de Toamasina ». Ce sont là les propos d’Élire Rabemananjara, président nouvellement élu de l’association des natifs de Toamasina (FIZATO) en marge d’une cérémonie de passation de service entre la co-présidence et le nouveau bureau à Analakely samedi dernier. C’est sous le signe de la solidarité des membres et enfants de la région que le nouveau bureau entend redonner sa force et sa vigueur à l’association. Comme l’a fait savoir Élire Rabemananjara » tous nos projets, tout ce que nous voulons entreprendre, les appuis que nous voulons apporter aux dirigeants pour développer notre Toamasina ne pourront se faire sans cette solidarité « .
Missions
Dirigée par Élire Rabemananjara, la FIZATO ambitionne de se lancer dans de vastes projets dont l’objectif est le bien-être, l’épanouissement ainsi que le développement des enfants de Toamasina. » Arrimer le développement du Port de Toamasina à celle de la ville » a été cité comme exemple par le nouveau président. A en croire celui-ci, tous les projets de développement et d’exploitation initiés dans cette partie du pays devrait être perceptible et impacter directement sur la vie des natifs. Pour ce faire, l’association se présente comme étant » une force de proposition « . » L’association a une grande responsabilité en matière de développement socio-économique de Toamasina, de la région en général » précise Élire Rabemananjara. La FIZATO projette ainsi de travailler de concert avec les dirigeants afin de » résoudre les innombrables problématiques inhérentes au développement de Toamasina « . » Il est de la responsabilité de l’association de collaborer avec les dirigeants mais surtout de proposer des solutions afin de résoudre ces problématiques « , conclut Élire Rabemananjara.
José Belalahy