La Plateforme de dialogue et de médiation, dirigée par Christine Razanamahasoa, ne se décourage pas après son échec à obtenir le report de l’élection présidentielle de novembre 2023. Malgré cette déconvenue, cette initiative, réunissant plusieurs intellectuels de renom, continue de suivre la voie qu’elle a tracée depuis sa création : celle de la prévention des crises.
Apaisement
Dans cette optique, les membres de la plateforme poursuivent leurs activités de lobbying, loin des projecteurs médiatiques. Le mois dernier, notamment le mercredi 17 janvier, Christine Razanamahasoa, Raymond Ranjeva, Béatrice Attalah et Charles Rabemananjara ont rencontré le nonce apostolique Tomasz Grysa. Selon une source proche du dossier, la mise en place d’un climat politique apaisé dans le pays aurait été au cœur des discussions lors de cette rencontre.
Réconciliation
La démarche de la plateforme inclut toujours l’implication des organisations religieuses influentes, telles que le conseil œcuménique des Églises chrétiennes. Cependant, malgré l’importance de cette rencontre, aucune communication officielle n’a été émise par la plateforme concernant son résultat. Un membre de la plateforme a confié que même si les négociations se déroulent en coulisses, loin des projecteurs, l’objectif demeure de guider le pays vers la « réconciliation ».
Rija R
N’est ce pas aller à la recherche du trésor perdu par monts et par vaux ?
Réconciliation n’est pas un mot récent, ni une idée nouvelle ; mais reste une équation insoluble ; un objectif quasi inaccessible ; un échec cyclique ; en dépit des velléités.
Tant que le jeu d’échec reste un soubassement et que la Prééminence de la Nation n’est pas en point de mire des politiques et associés . il faudra de la patience pour remplir les tonneaux des
Danaïdes. Au détriment du real développemen .