8 mars, Journée internationale des droits de la femme, c’est sympathique d’y avoir consacré 24 heures ! Mais de vous à moi, puisque les femmes sont encore loin de jouir des mêmes privilèges que les hommes, que l’égalité devant la loi n’est pas acquise et en attendant que les hommes et les femmes soient pris en charge de la même manière par le système judiciaire, peut-être qu’accorder 365 jours – 366 les années bissextiles – pour faire reconnaître les injustices subies par la gent féminine, ne serait pas de trop !
Me contredirez-vous ? Mais alors, à quel moment pourrait-on dédier « une journée internationale pour la protection des prérogatives des hommes » ? Vous allez peut-être rire jaune mais l’humour n’est jamais mal placé !
Mesdames et Messieurs, quel qu’en soit la raison, de devoir s’accorder un jour particulier pour clamer des injustices basées sur le genre est une ignominie ! C’est renier ce que nous sommes : l’humanité !
Oui, il y a un sexe féminin. Oui, il y a un sexe masculin. Mais avant tout, il y a l’homme avec un grand H ! Et ça, nous avons tendance à l’oublier.
Que l’être humain ait toujours voulu avoir un ascendant sur ses congénères s’est avéré tout au long de notre histoire. Mais nous nous trouvons à l’aube de grands questionnements pour l’avenir de notre planète et notre survie. La paix mondiale est plus qu’aléatoire car notre société est gangrenée.
Puissance, autorité, influence… Tout cela n’est que coquecigrue !
Misogynie, misandrie, patriarcat… Complètement anachronique !
Notre route est parsemée de pierres d’achoppement. Si nous ne voulons pas glisser dans les abysses, nous devons former une trame dont chaque fil assure la force et la malléabilité de l’ensemble : l’humanité !
Que le 8 mars soit l’écho de notre désir de concorde !
Plume de P : 8 mars
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Les mirages sont encore possibles a voir quant aux droits des Hommes j’ en doute qu’ils arrivent puisque d’abord c’est l’argent et la loi de la jungle !