Le calme et la sérénité sont donc revenus au Sénégal. La crise, qui est née après l’annonce du report des élections votée par l’Assemblée nationale, est terminée et la date de l’élection présidentielle est fixée au 24 mars 2024. Le pays, considéré en Afrique et dans le monde comme un modèle, va traverser cette période électorale dans le respect des règles démocratiques. La campagne présidentielle a commencé le week-end dernier et pour les 19 candidats qui se présentent, c’est un véritable marathon qui a commencé pour convaincre les électeurs.
Une sortie de crise par le haut
La décision prise par le président Macky Sall de reporter la date de l’élection présidentielle fixée au 25 février fut entérinée par l’Assemblée nationale et provoqua un véritable tollé dans l’opinion sénégalaise. Un climat d’insurrection a traversé le pays. Des manifestations ont eu lieu un peu partout, provoquant une répression violente des forces de l’ordre. Il y eut des morts et des arrestations. La communauté internationale a manifesté sa désapprobation devant la tournure des événements. Le conseil constitutionnel a, cependant, annulé la loi votée par les députés et a demandé que le scrutin ait lieu dans les plus brefs délais. Le parti majoritaire avait proposé, dans un premier temps, qu’il ait lieu au mois de décembre. Cela n’a cependant pas calmé la tension politique. Un dialogue national a proposé la date du 2 juin. Le 6 mars, une loi d’amnistie générale concernant les faits survenus lors de manifestations politiques pour apaiser les esprits et renforcer la cohésion sociale a été discutée à la Chambre basse. Mais le rang des votants semblait s’éterniser. Le conseil constitutionnel a décidé que l’élection aurait lieu le 24 mars, prenant de cours toute la classe politique. Cependant, ses membres l’ont unanimement accepté. Les candidats se sont vite organisés et ont commencé à sillonner le pays le week-end dernier. Le laps de temps est court, mais chacun accepte les règles du jeu. Le Sénégal est sorti de la crise par le haut et va servir d’exemple aux pays de notre continent.
Patrice RABE
Un conseil constitutionnel vraiment indépendant et impartial tout s’explique contrairement à la basse cour constitutionnelle avec comme président un braconnier de flamants roses aux ordres de Rainilainga chez nous . La question de la binationalité a été tranchée dans le vif chez eux et sans fioriture juridique à la différence des manœuvres sordides de la Rasanjy ministre de la justice signant le code de la nationalité du fieffé menteur . Et Rainilainga qui est félicité par des despotes Africains de son rang comme soi-disant pays à » démocratie stable » mais avec les répressions violentes des manifestations démocratiques et de la liberté d’expression . Baomba korontamby au sénat et des généraux à des postes ministériels maintenant ont agi comme des SS du temps du IIIème Reich et le centre GESTAPO Malagasy à Fiadanana en est la parfaite preuve !
Oui, c’est avec raison garder que la haute autorité de l’ état a su se saisir de la situation de remous et indiquer la voie de sortie de crise constitutionnelle provoquée par le président sortant.
Sans excès, sans dérapage et sans collectif
Aucun des candidats validés au préalable n’est allé chercher la petite bête.
Aucune voix s’est élevée pour réclamer benoîtement une entremise d’ailleurs.
Le collabo qui présente des propos mielleux mais il s’empiète sur des considérations et autres appréciations fallacieuses ;. La constitution Sénégalaise a été respectée à la lettre sur la question de la nationalité contrairement aux interprétations farfelues des copains de Rainilainga à Ambohidahy . Les institutions du Sénégal ont tenu leur rang avec le parlement qui n’a pas cédé aux pressions du président actuel et l’armée est restée neutre . Effectivement c’est un modèle en Afrique et votre président Français de la république de Madagascar a intérêt à se faire tout petit après avoir insulté l’Afrique et le peuple Malgache en parlant de Madagascar un pays » stable » ( sic ) grâce à la dictature .. Son larbin DOUGLAS n’a pas toujours compris que c’est un président mal élu et sans légitimité avec seulement 2 800 000 électeurs sur 11 000 000 qui se sont déplacés pour le plébisciter . C’est un hold-up électoral honteux !
Vous avez bien d’autres problèmes que de vous occuper de la situation au Sénégal ou bien c’est pour vous consoler ou les envier. ?