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mercredi, mai 14, 2025
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Film documentaire : Une trentaine de films projetés pendant quatre jours

DocumentaireDonner plus de visibilité aux films documentaires. C’est l’objectif que s’est fixé l’association asa sary dans la première organisation du mois de film documentaire au grand port.

C’est la troisième année consécutive que des projections de ce genre de films sont programmées dans la capitale régionale Atsinanana. La SCAC de l’ambassade de France est impliquée dans la réalisation de toutes les projections. La manifestation a poussé la population tamatavienne à fréquenter les salles obscures. Les organisateurs ont bien déterminé leur cible pour éduquer le public. Des établissements scolaires se sont inscrits pour chaque projection. Toutefois, des projections sont réservées au grand public après les heures de travail. C’est parti donc pour le mois du film documentaire à Tamatave. Sept films par jour sont au programme. Six films produits à Toamasina vont être l’objet de curiosité et faire partie des révélations de cette manifestation. « Mon insurrection de Yvan Fabius – « les enfants de la périphérie » et « coup de hache pour une pirogue » de Gilde Razafitsihadinoina – « Campus B5 » de Mohamed Ali Ivesse – « la maison bleu » de Philippe Gaubert sont entre autres les films documentaires réalisés à Toamasina et au programme des projections. Des réalisateurs de Tananarive, de La Réunion et même de France ont envoyé leur production au mois du film documentaire dans la capitale économique de Madagascar. « L’envers du décor » et « petits hommes » de Lova Nantenaina puis « Sambatra » de Solo Randrasana et Ronan Leroy ont représenté les réalisateurs d’Antananarivo. « Une enfance en exil » de William Cally et « je veux ma part de terre » de jean Marie Pernelle ont marqué la présence des réalisateurs de La Réunion. « Kigali Shaoline temple » de Magali Chirouze et Pierre Rhabi « la conquête du son » de Marie Dominique Dhelsing, « Ce que nous avons perdu » de Christiane Mordelet et Stanzin Dorjay Gya soulignent la participation des réalisateurs français. Bref, c’est une trentaine de projections pour partager la valeur des films documentaires au public tamatavien que l’association asa sary et la SCAC ont organisé pour la promotion de ce genre de film au premier port de Madagascar.

Jean – Claude STEVE

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