La vie des Tananariviens est encore rythmée cette semaine par les coupures d’eau et d’électricité, mais de guerre lasse, ils ont fini par en prendre leur parti. Ils guettent tous les jours le retour de l’alimentation en eau pour remplir tous les récipients qui se trouvent chez eux et ils ont fini par s’adapter à cette habitude. Ils ont compris que les causes de la crise ne pouvaient pas être résolues tout de suite et qu’il fallait une réforme profonde du fonctionnement de la Jirama pour qu’elle satisfasse aux besoins de ses consommateurs. La nomination d’un nouveau DG, annoncée lors du dernier Conseil des ministres, est peut-être l’un des premiers actes pris pour son redressement. Les inaugurations de nouvelles centrales électriques faites ces derniers temps font, elles aussi, partie des solutions qui résoudront les problèmes actuels. La vie politique nationale continue et ce sont les élections législatives qui préoccupent les membres des partis, qu’ils soient partisans du pouvoir ou affiliés à l’opposition. Bien que la campagne électorale officielle ne débute que le 8 mai, les candidats sont déjà prêts à se lancer dans la bataille. La question des moyens dont ils disposent pour ce faire revient sur le tapis. Certains ont déjà mis en place une stratégie efficace où la communication joue un rôle essentiel. Affiches, flyers ou T- shirts sont prêts ainsi que animations de toutes sortes, mais ceux qui vont faire ce genre de campagne disposent de ressources financières appréciables. La plupart de ceux qui se présentent à la députation vont aller sur le terrain et faire du porte à porte pour convaincre les électeurs. Ces derniers ont la foi chevillée au corps et pensent que leurs concitoyens seront sensibles à la justesse de leurs arguments.
Sur le plan international, ce sont toujours le Proche-Orient et l’Europe qui focalisent l’attention des médias du monde entier. La crainte d’un conflit dans ces deux zones reste la préoccupation majeure de la communauté internationale. Une trêve est possible dans la bande de Gaza, mais elle se heurte à l’intransigeance des deux parties en présence. En Europe, aucun observateur ne se hasarde à dire ce que sera la suite des événements. Certes, le vote des 61 milliards d’aide à l’Ukraine par la chambre des représentants a redonné de l’espoir aux Ukrainiens, mais l’arrivée du matériel militaire ne renversera pas tout de suite la situation.
Au Proche-Orient, les négociations vont bon train. Les propositions faites par l’équipe dirigée par le ministre des Affaires étrangères égyptien sont réalistes, mais aucune des parties belligérantes ne veut paraître céder. Les Américains mettent une énorme pression sur les Israéliens qui semblent d’accord sur le principe de la trêve couplée avec une libération des otages. Le Hamas voudrait un cessez-le-feu permanent et l’évacuation de la bande de Gaza par l’armée israélienne et ne se prononce pas sur l’offre que le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, jugée très généreuse pour l’organisation. Aux dernières nouvelles, une solution intermédiaire est proposée : une trêve de 40 jours avec la libération d’une partie des otages et de centaines de prisonniers palestiniens. On a appris cependant hier la mort d’un otage israëlien.
La guerre entre la Russie et l’Ukraine s’intensifie, les envois de missiles se multipliant des deux côtés. L’arrivée de matériels militaires par leurs alliés occidentaux a, quelque peu, soulagé les Ukrainiens, mais il ne leur permet pas de renverser le cours des événements. Le président Macron a continué d’évoquer la possibilité d’envoi de troupes occidentales en Ukraine lors d’un entretien qu’il a accordé au journal «The Economist ». Le Kremlin lui a répondu et a jugé ses propos très dangereux.
Les Malgaches sont loin des foyers de tension qui influent sur la politique internationale, mais ils ne sont pas pour autant épargnés par cette pression qui s’exerce sur tous les pays du monde. Leurs problèmes sont cependant bien réels et ils essaient de les affronter courageusement. Ils se nomment hausse du coût de la vie, coupures d’eau et d’électricité, réchauffement climatique. Pour eux, la vie est aussi un combat perpétuel.
Patrice RABE
Une nomination fumeuse foulant au pied les règles requises pour une république irréprochable dans le mode de recrutement . On nous ressasse l’énergie renouvelable avec l’éolien et ses enjeux financiers pour les requins alors qu’il y a dans l’immédiat des projets hydroélectriques comme Sahofika et Volobe efficients pour l’indépendance énergétique . La priorité immédiate pour Rainilainga c’est son programme de dotation nationale de kits solaires avec son obsession maladive pour le populisme !
Des propos qui rejoignent ceux de Mère Teresa : » la vie est un combat, Accepte le. »
Un combat en corps à corps ; une bataille contre soi-même, parfois, contre les autres et contre la vie elle-même .
Il y a ceux qui luttent pour réaliser, pour bâtir , pour développer ; et il y a ceux qui les combattent âprement . Ceux qui passent leur temps à culpabiliser les autres plutôt que d’affronter leur propre destin .
Lutter dans les règles de l’art, c’est se faire victoire. Fierté en sus.
Pourquoi pas aussi inciter les Malgaches à faire le pèlerinage à Lourdes et l’eau tout comme la lumière furent ….dans les foyers Malgaches avec le » minoa fotsiny ihany ! » ! Le COLLABO divague le jour du seigneur et blasphème même en encensant Rainilainga avec son titre fumeux de grand bâtisseur champion en Afrique . Les Malgaches ont perdu leur fierté avec un président VAZAHA TARATASY traître à la nation et qui les a appauvri » manarapenitra » . La victoire dans les règles de l’art se fera avec un gros coup de pied au cul pour le dégager ce manipulateur machiavélique RADOMELINA !