L’administration douanière ne lésine pas sur les moyens dans ses actions de lutte contre les exportations illicites des richesses nationales et la contrebande. La prochaine étape sera la mise en place d’une cartographie des risques pour mieux cibler les zones de prolifération des actes illicites.
C’est justement dans cette perspective que la direction générale des Douanes a effectué la semaine dernière une patrouille de surveillance douanière.
Ratissé large
Conduite par le directeur général des Douanes Ernest Zafivanona Lainkana, accompagnée, à cette occasion du directeur de la surveillance douanière, cette patrouille composée d’agents du service en charge de la surveillance du territoire et de la lutte contre la contrebande, a littéralement ratissé large. L’équipe a, en effet, sillonné Analalava et les îles avoisinantes de la zone maritime au nord-ouest, telles que Nosy Lava, Nosy Saba, Nosy Antanimora, et Nosy Valiha, avant de descendre le long de la côte Ouest jusqu’à l’extrémité Sud, puis de remonter la côte Est jusqu’à atteindre la partie nord d’Antsiranana. La mission s’est poursuivie dans la zone Ouest avant de passer par Morombe et Toliara.
Surveillance étroite
À court terme, l’objectif de l’administration douanière est de procéder à une surveillance étroite de toutes les zones non occupées. Les patrouilles seront ainsi progressivement renforcées afin de prévenir les importations, les exportations, ainsi que tous les types de contrebande, de trafic et de rejet illicite. Une manière en somme de mieux cerner les zones sensibles pour des interventions plus efficaces. Cette patrouille de surveillance aura en tout cas le mérite d’aboutir à la mise en place d’une cartographie des risques afin de localiser les points de passage potentiels des trafiquants. À travers ce genre d’actions, la douane contribue efficacement à la lutte contre les trafics des richesses nationales comme la faune et la flore et les ressources minières. Elle apporte également sa collaboration dans la lutte contre les stupéfiants. Une mission que l’administration entend mener à bien malgré sa complexité en raison d’un littoral de 5 000 km pratiquement impossible à couvrir à 100%.
R.Edmond.
On aura beau monter des schémas de différents ordres pour lutter contre l’ exploitation illégale des biens nationaux, et des pillages illicites, il faut bien admettre que tout est dans la tête de chacun des Malagasy et de tous les agents en fonction pour protéger leurs richesses et pour lutter contre les éléments et les facteurs de dégradation pourvoyeurs de maux et de pauvreté.Dont : corruptions et perversions .
Se tromper de cible, c’est le coup d’épée dans l’air.
Il faudrait peut être analyser les faits lexicaux, afin de philosopher sur bien des maux:
Formel / un formel
Licite/île licite
Demos cratos/ demos crados
Démocratie bananière / dictature de l’imposture
Heureusement que nous pouvons encore bien rire , grâce à nos médias, sans quoi je crois que nous serions condamnés à une vie de calvaire, repentance,… La fumeuse sinistrose de masse! Encore merci à vous! et bonnes vacances, quoi que vous y êtes toute l’année!