On a toujours dit « Voir Naples et mourir », pour souligner la beauté de cette ville. Cette expression est aussi utilisée par les Napolitains pour dire que leur ville est d’une telle beauté, qu’une fois qu’on l’a vue, le reste n’a plus aucune importance et on peut mourir en paix (Vedi Napoli e poi muori ! qui se traduit par « Vois Naples et puis meurs ! »). Peut-on dire autant de Dubaï car selon les dires des quelques connaissances ayant eu l’occasion d’y aller, la destination se résume ainsi : « Là, tout n’est que luxe et volupté ». Les catalogues ne tarissent pas d’éloges : « Rien n’est jamais trop beau ou trop haut pour Dubaï. Ce lieu des projets les plus fous est devenu, en quelques années, une destination à la mode. » Désormais, ce « paradis » ne sera plus réservé à quelques élites Malgaches privilégiés, car selon les propos de notre président, il sera à la portée d’un plus grand nombre parmi nous puisque le voyage aller-retour ne coûtera que 600$ américains, soit environ 2 400 000 ariary, une broutille ! Il doit penser à certains qui, vont habituellement à Paris vers où il faut débourser le double !
Mais comme dans toute chose, il y a l’endroit et malheureusement il y a aussi l’envers. D’abord À Dubaï, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, il paraît que Dubaï est une ville parfaite qui alimente le mythe de tous les possibles, des routes à six voies sont bordées par des gratte-ciels impressionnants, soigneusement construits et placés. Tout y est joli, bien entretenu. L’herbe est verte, coupée au millimètre près, alors que la température ne le permet pas. Les hôtels 5 étoiles côtoient les yachts brillants et les boutiques de marques. Les touristes y ont le sourire et les vêtements chics. Puis, derrière, Il y a aussi les « bidonvilles », l’équivalent de notre « La Réunion kely », en somme ; la prostitution sexuelle, avec les « haut de gamme » qu’on n’appellerait pas p… mais qui y ressemblent, seul diffère le tarif mais les services sont les mêmes qu’à Ambalavao Isotry. Mais le plus pertinent pour les Malgaches, du moins indirectement, cette ville serait un « Haut lieu de la criminalité financière ». Oui, selon les révélations des « Dubaï Papers » dont le crédit laisse peu de doutes, « Du fait de sa forte influence récente dans la finance et de par son caractère de paradis fiscal, Dubaï est devenue une grande place financière offshore, accusée de faciliter le blanchiment d’argent, notamment pour les riches de Chine, de Russie et d’Afrique, profitant de la complaisance et, parfois, la criminalité manifeste du secteur financier formel ». Là, on pense au chroniqueur Amam car selon lui, Dubaï serait devenue la nouvelle province de l’Etat imaginaire. « Gondwana » au détriment de Paris, Londres ou Bruxelles. Les Africains, y compris les Malgaches, aux mœurs douteuses y amèneraient des brassées d’or et de pierres précieuses sans contrôle et les convertissent en argent propre selon des procédés quasi-légaux et non comme les pratiques « tatillonnes » des douaniers et banquiers européens. Le procédé de blanchiment concerne ainsi la sphère mondiale de la drogue, de fraudes fiscales et de détournements de deniers publics. Voilà donc pourquoi il y a tant d’engouement pour cette destination. Il semble que toutes les routes mafieuses mènent à Dubaï. « Madagascar s’ouvre au monde », dit-on, avec les 4 vols hebdomadaires à partir d’Ivato à destination de Dubaï, mais ce n’est pas le cas pour tous les Malgaches hormis ces trafiquants qui ne vont pas rater une telle nouvelle opportunité.
M.Ranarivao
Et oui il n’est pas fortuit que le président Français de Madagascar remue ciel et terre à ce qu’il pilote en personne la coopération plus que suspicieuse avec ce pays de la démesure et de tous les délits ! Rainidedaka s’est rabaissé en accueillant à Ivato un directeur commercial de Emirates Airlines et également en assurant avec les frais de l’état des importations de 12 ordinateurs LEVONO et autres supports publicitaires pour cette riche compagnie aérienne à Ivato .
Radomelina a eu l’affront d’insulter les Malgaches en félicitant son fiston Arena pour la concrétisation de cette nouvelle ligne de tous les scandales . Le restaurant ZAYMAIKA pour son fils était une diversion car là le directeur de protocole attitré de Ratadnrametaka vise très haut en prenant sous sa coupe depuis le palais les importations illicites d’or dans cette ville Dubaï plaque tournante des trafics . Pierre Bleue au villa Pradon se frotte les mains et lorgne sur l’île MITSIO à Nosy BE avec les pétrodollars des Emiratis . Pauvre pays maudit …
On n’a jamais de la nature mafieuse de ce régime jusqu’au plus haut sommet mais Rainilainga doit intégrer le dogme KARMA qui l’attend avec ses progénitures …
Précision : on n’a jamais douté de la nature mafieuse….
Autant l’ habit ne fait pas le moine ;
Autant l’écrin ne fait pas la qualité du bijou ;
Autant un quartier ne peut être indiqué pour receler à lui-même les mauvaises gens de tout acabit ;
Autant ne pas se laisser conter par les bonnes plumes et se laisser croire que » ny aty aminay » n’est que du berck ;
Autant un bonhomme est tartiné d’épigrammes dans une équation de tenter de le bousculer et faire place au laisser aller, au tout est permis. Et avoir comme seuls guides des prédateurs et des apprentis sorciers.
Autant la déraison a de l’aplomb.
Autant en emporte le vent mais le CQFD
reste dans la captation des maux
enracinés depuis belle lurette pour les détricoter jusqu’à une sortie du tunnel.
Une génération n’est pas de si tôt. Hélas ! Avec la meilleure volonté du monde et
sans scepticisme ringard.
Rien à foutre de vos envolées débiles et allez à l’essentiel pour être crédible pauvre C… ! » Ny any aminay » n’est pas aussi loufoque que le COLLABO pour sucer la mafia de Rainilainga avec ses progénitures !