Dans le cadre de la lutte contre la corruption, le Bureau indépendant anti-corruption (Bianco) a tenu un atelier, hier, en son siège à Ambohibao. Il s’agit de l’élaboration d’une nouvelle stratégie avec notamment la participation du secteur privé. Cette rencontre a été placée sous l’égide d’un comité de pilotage. Lors de son intervention, le directeur général du Bianco, Gaby Nestor Razakamanantsoa a fait remarquer que les parties prenantes à la lutte contre la corruption ont prêté main forte à ce bureau. Cet atelier a vu la présence du Secrétaire général du ministèrede l’Industrialisation et duCommerce(MIC), VahinisoaRasamoelyRanoelimanana ainsi que de la présidente du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité, Sahondra Rabenarivo.
Par ailleurs, le Bianco a également reçu une doléance signalant des faits présumés de corruption, d’abus de fonctions ainsi que de faux et usage de faux liés à la production d’un acte de notoriété falsifié, commis par un agent d’un arrondissement du district d’Avaradrano. Résultat, un chef d’arrondissement et son complice ont été placés sous mandat de dépôt.
Recueillis par Dominique R
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encore un atelier de la corruption , le sport national à mada……………….
Ce n’est pas par manque de volonté, c’est un chemin de longue haleine.
Le BIANCO ne serait-il pas mieux inspiré de procéder à une étude par système de sondage ou d’enquête pour savoir au plus près combien sont les fonctionnaires, les cadres, les décideurs, les gradés , les dépositaires de responsabilités… etc qui se sentent concernés et impliqués dans l’aménagement et la réglementation de la route de l’ abîme ? On ne peut gagner une lutte avec complaisance et compromission. Et La stratégie viendrait corroborer la réalité ; sans coup d’épée dans l’air.