Un scandale de corruption impliquant le ministère de l’Économie et des Finances a été révélé par une enquête du Bureau indépendant anti-corruption (Bianco).
Coup de filet au sein du ministère de l’Économie et des Finances. Une enquête menée par le bureau indépendant anti-corruption (Bianco) a découvert un réseau de fraudeurs au sein de ce département qui ont siphonné les pensions des retraités de la fonction publique. Ce système frauduleux, mis en place en 2020, selon une source au courant du dossier, a permis à des employés, dont des responsables, du ministère de détourner près de 672 millions d’ariary grâce à la création de 9 pensions fictives.
Des têtes sont déjà tombées
Et certaines ne sont pas des moindres. L’enquête du Bianco a révélé que plusieurs agents du ministère ont été dans le coup. En effet, le chef de Service de l’Ordonnancement des dépenses de pensions (SODP), cinq de ses collègues et huit présumés faux pensionnaires étaient impliqués. Ils ont mis en œuvre pendant des années une méthode bien huilée qui consistait à recruter des personnes de confiance pour ouvrir des comptes bancaires servant à recevoir les fonds détournés. Puis, avec la complicité d’un agent du service informatique du ministère, ils accèdent illégalement à la base de données de l’AUGURE PENSION, le logiciel de gestion des pensions des retraites des fonctionnaires, afin d’y insérer de faux bénéficiaires et valider les paiements frauduleux.
Le réseau a été démantelé suite à une dénonciation anonyme, permettant aux autorités d’identifier les maillons de la chaîne. Le 3 février 2025, les personnes impliquées ont été présentées devant le procureur de la République près le Pôle anti-corruption d’Antananarivo. Elles sont poursuivies pour faux et usage de faux, abus de fonction, enrichissement illicite et détournement de fonds publics. Les agents du Service de l’ordonnancement des dépenses de pensions (SODP) et un complice présumé ont été placés en détention à la maison centrale d’Antanimora, tandis que d’autres personnes concernées ont été placées sous contrôle judiciaire.
Rija R.
La corruption Existe dans tous les pays du monde et sur tous les continents.
Il n’y À que leur MODE de FONCTIONNEMENT qui est DIFFÉRENT.
Le problème commence à être inquiétant , quand les petits grades veulent aussi grignoter les Miettes du Gâteau et çà, les gros CROCODILES affalés dans son MAROQUIN n’acceptent pas.!!!
LEUR DEVISE. : « Tout pour MA GUEULE ,
: « Rien pour la VALETAILLE » !!!!!
Je défi quiconque de m’expliquer comment on peut Vivre avec un salaire de 250.000 AR par mois et encore quand on trouve un travail ? ; ( loyer. Djirama. Scolarité des enfants, NOURRITURE. Et j’en passe sur les Imprévus de la vie Maladie etc etc.
Alors, je dis VIVE au Commerce Informel, Vive la Corruption pour tout le monde ( les gros se GAVENT , les petits se démène pour SURVIVRE.
C’est Çà ou la RÉVOLUTION !!!!
Faut il s’étonner que la pauvreté connaisse une bonne croissance au pays de la quatquatrocratie ?
La liste est longue…. Mais c’est toujours les plus vulnérables qui sautent pour protéger les plus crades!
ça ne rigole plus là ,j’espère qu’ils auront des excellents avocats pour les défendre ,vu le montant des sommes détournées,,sinon ça ne vaut pas le cout car l’affaire a démarré en 2020 ,cinq ans passé ,mety efa lany tsipotipotika ny vola ,izay vao tena loza .
foutez les tous en taule ou une balle….