La candidature de Richard Randriamandrato à la présidence de la Commission de l’Union africaine (UA) s’est soldée par un échec. Faute d’avoir engrangé suffisamment de voix, l’ancien ministre des Affaires étrangères n’a pu se maintenir jusqu’au bout de la course. Laissant le champ libre au chef de la diplomatie djiboutienne, Mahamoud Ali Youssouf qui l’a emporté face au vieux routier de l’opposition kenyane, Raila Odinga.
Lobbying
La défaite malgache résulte sans doute d’une insuffisance de préparation et peut-être aussi de moyens notamment de lobbying mais aussi par le manque de poids diplomatique. La cheffe de la diplomatie malgache se trouve sur la sellette en ne réussissant pas à placer Madagascar dans l’arène africaine. Faute d’expérience et de réseau solide, indispensables pour porter les ambitions de la diplomatie malgache. L’élection du président de la Commission de l’UA a démontré que les soutiens et alliances se nouent bien avant le scrutin. Mahmoud Ali Youssouf a su capitaliser ses 20 ans à la tête de la diplomatie djiboutienne où il a tissé beaucoup de relations. Raila Odinga a bénéficié pour sa part, du soutien de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique australe, grâce à un travail d’influence.
Influence
En revanche, les déplacements à travers le Continent et dans la région de l’Océan Indien de la délégation malgache conduite par la ministre Rasata Rafaravavitafika n’ont pas obtenu les résultats escomptés. Même Maurice, qualifiée d’île sœur et partenaire naturel de Madagascar, a soutenu Raila Odinga, après des tractations entre ce dernier et le Premier ministre mauricien, Navin Ramgoolam. Quid de la diplomatie malgache après Addis-Abeba ? La question se pose en cette année où l’on va accueillir le sommet de la Commission de l’Océan Indien à Nosy Be et celui de la SADC dont la présidence échoit à Madagascar. Une présidence qui risque de rester purement symbolique et de compromettre l’influence du pays au niveau régional. Sans un réseau solide ni de figure capable de peser de tout leur poids dans le domaine des relations internationales, la Grande Ile ne le serait que de nom et de laisser le champ libre aux autres États tel que c’était le cas à Addis-Abeba où la fragilité diplomatique de Madagascar était pour quelque chose dans l’élimination prématurée de Richard Randriamandrato. « 3ème tour dia vita ».
R.O
normal, avec des rigolos…
les affaires étranges des affaires étrangères dirigés par des gens peu recommandable pour ne pas les qualifies de NUL depuis la TETE…
Que RAINILAINGA dégage et RAFARAVAVY démissionne d’emblée !
AHAHAH izahako kosa tsy miombo kevitra amin’ilay hoe tsy ampy traikefa i Mme Rasata efa nanao izay ho hafany izy ,fa io izay malaza sy mahery ihany no fantatry ny maro
Raha ny fijeriko manokana dia efa somary tara vao nietsiketsika i Mme Rasata ,ka na iza na iza teo amin’ny toerany dia mimitovy ihany ny vokatra .
Avec les méthodes , les connaissances et les tares de SAFIOTRA son maître, vous attendez quoi comme résultat. Et il ne faut pas oublier que cette dame a eu le culot d’expulser une Ambassade.
Je pense qu’il y à assez à faire à MADAGASCAR pour toutes les personnes de bonne volonté.
MADAGASCAR peut très bien vivre en OTARCIE sans QUÉMANDER en permanence à l’étranger. On à pas le de Fabriquer des UNIFORMES Français !!!! Quelle horreur !!!!
Celà me fait penser à l’ÉSCLAVE qui habille son MAÎTRE !!!!
Ayez toujours en tête, que ces gens là ( vous voyez qui je veux dire) , ON LES FOUT À LA PORTE, INSIDIEUSEMENT, ILS REVIENNENT PAR LA FENÊTRE !!!!
CONCLUSION. : OUBLIER ; (encore difficilement) .
: PARDONNER : ( BLESSURES pas encore
: : CICATRISÉES).
Soyons VIGILANTS. La CONFIANCE n’exclut pas la MÉFIANCE.
Que DIEU garde et protège MADAGASYCARA et son Peuple.