Après le numéro Un du parti Malagasy Miara-Miainga, Hajo Andrianainarivelo, d’autres leaders de l’opposition se sont exprimés par rapport à une éventuelle modification de la Constitution par le régime en place. Auguste Paraina du parti Tsara Tahafina, Rina Randriamasinoro, secrétaire général du parti Tiako i Madagasikara ou encore Me Hanitra Razafimanatsoa, députée Firaisankina élue dans le 1er arrondissement de la capitale se trouvent parmi ceux qui jugent que cette opération est tout simplement inacceptable et risquée. « L’histoire nous a déjà montré que toute tentative de modification de la constitution est souvent à l’origine d’une crise politique et la chute prématurée d’un régime», a d’ailleurs indiqué la députée du 1er arrondissement.
Julien R.