400 Ar, pas un rond de moins. C’est désormais le tarif applicable pour toutes les coopératives de la zone urbaine et de 2 coopératives suburbaines autour de Tanà. C’est pour l’heure le seul moyen pour les transporteurs de rentrer un peu dans leurs frais. « Que ceux qui ne font que 2 arrêts soient solidaires avec ceux qui font trajet jusqu’au terminus », expliquent les transporteurs. « Pour l’heure, le seul point de désaccord reste les 30 litres forfaitaires de compensation journalière pour les transporteurs », disent-ils. Une requête plus ou moins difficile si l’on considère que sur les 2 300 véhicules qui ont une licence, 1 800 sont en activité. En tout cas, pour l’heure, l’annonce de la hausse du ticket du taxi-be reste une… rumeur !
Anjara Rasoanaivo