La deuxième session de la Commission mixte France-Madagascar sur les îles Éparses s’est tenue lundi dernier dans les salons du Quai d’Orsay, à Paris. Co-présidée par le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, et son homologue malgache, Rafaravavitafika Rasata, cette rencontre a donné lieu à un communiqué conjoint évoquant un dialogue « respectueux et constructif ». Toutefois, le différend territorial entre les deux pays demeure inchangé.
Actions unilatérales
Depuis sa création en 2019 à l’initiative des chefs d’État des deux nations, la Commission vise à gérer pacifiquement ce contentieux historique portant sur les îles Glorieuses, Juan de Nova, Europa et Bassas da India, situées dans l’océan Indien. Lors de cette deuxième session, la délégation malgache a proposé la suspension des actions unilatérales françaises dans les zones concernées, ainsi que l’élaboration d’une feuille de route commune incluant un mécanisme permanent de concertation, un calendrier partagé et des réunions régulières.
Troisième session
La France, tout en « prenant note » de ces propositions, n’a pas donné son accord quant à leur mise en œuvre et a réaffirmé sa souveraineté sur les îles. Le communiqué officiel s’est abstenu d’employer les termes « Îles Éparses » ou « Îles malagasy ». Par ailleurs, les deux délégations ont abordé la question de la préservation de la biodiversité dans ces territoires. Paris a suggéré plusieurs axes de coopération portant sur la protection de l’environnement, la recherche scientifique, l’économie bleue, la sécurité maritime et la lutte contre la pêche illégale. De son côté, Antananarivo a réitéré ses revendications, notamment un accès sans restriction pour ses pêcheurs dans les zones maritimes environnantes et une participation effective de ses chercheurs aux projets locaux. Là encore, la partie française s’est limitée à « prendre note » de ces demandes. Malgré l’absence d’avancées concrètes, les deux pays ont salué la qualité des échanges et ont exprimé leur volonté de poursuivre les discussions « dans le respect des positions respectives ». Une troisième session est d’ores et déjà prévue à Madagascar, la date restant à fixer par voie diplomatique.
Recueillis par Julien R.
JE VOUS AI PRÉVENU (voir mes commentaires précédents sur ce sujet courant juin 2025) dans cet espace !!.
La France n’a plus Aucune CRÉDIBILITÉ vis à vis de MADAGASIKARA. Ce n’est pas tellement le peuple français qui est le problème, mais, leurs Dirigeants. J’ai précisé avec une Certitude absolue, que la France USERA de toutes sortes de Stratagèmes MALHONNÊTES et NAUSÉABONDS pour ne pas rendre les Îles ÉPARSES à l’état MALGACHE. Il faut être totalement d’une Naïveté enfantine pour croire qu’on peut Négocier avec ces gens MALHONNÊTES GÉNÉTIQUEMENT.
La seule solution. C’est de REVENIR de NOUVEAU devant L’ONU. N’oubliez pas que la France est déjà CONDAMNÉE une première fois par L’ONU à la RÉSTITUTION des Îles Éparses. Il faut de nouveau RÉACTUALISER La DÉCISION devant L’ONU. C’est la seule solution devant des CRAPULES Pareils. Toutes Autres démarches, c’est du bla-bla bla-bla-bla et de la manipulation. Ainsi que de la POUDRE AUX YEUX. Ne nous laissons pas faire. Le GASY BABAKOTO c’est fini maintenant. Défendons nos intérêts par une politique Intélligente, sans compromission, sans corruption, sans violence. Il y va de l’HONNEUR du peuple MALAGASY et de sa NATION.
Nous PLIONS, MAIS RESTONS DEBOUT..
A BON ENTENDEUR.
blabla, au lieu de discuter envoyer l’armée gasy , avec les généraux de papiers-
Jusqu’à preuve du contraire, les résolutions de l’ONU sur les Îles Malagasy de l’OI ne souffrent d’aucune contestation. C’est de la part de la partie française que le déni du droit international se fait noter.
Le rôle des pourparlers donne une latitude de poursuivre dans la voie diplomatique pour Madagascar .
La délégation malgache a bataillé avec fermeté pour les intérêts nationaux. Elle se doit d’être saluée pour sa probité. Elle est toujours dépositaire des éléments historiques, géographiques, juridiques et diplomatiques. contrairement à la partie française qui ne peut agiter que le flambeau de la ruse coloniale. Elle ne peut tronquer l’histoire en la traitant au modus vivendi : après moi, le déluge.
Une bataille vaut son pesant d’élan patriotique et de lucidité désintéressée faite de complémentarité et non de
dispersion.