
800 personnes ont répondu présents au 30ᵉ Congrès de la Société Internationale de la Primatologie (IPS) qui a eu lieu à Antananarivo du 21 au 26 juillet dernier.
« Le succès du 30ᵉ Congrès de l’IPS est une fierté pour Madagascar, pour les Malgaches». Des propos empreints de fierté du Pr Jonah Ratsimbazafy, Président de la Société Internationale de Primatologie (IPS), en marge de la clôture du 30ᵉ congrès de cette organisation.
L’événement a placé Madagascar au cœur des discussions, échanges et conférences sur la primatologie, la recherche scientifique et la conservation à l’échelle mondiale.
« Si nous avions prévu 600 participants venant de plusieurs pays, ce sont finalement 800 personnes qui ont répondu présentes », précise le Pr Jonah Ratsimbazafy.
Perspectives
Une nouvelle perspective de développement de la recherche en primatologie s’ouvre pour Madagascar, à en croire les explications du Pr Jonah Ratsimbazafy. Cela, grâce aux échanges de savoir-faire et de bonnes pratiques entre chercheurs nationaux et internationaux.
L’IPS a également permis de créer des opportunités et de développer des partenariats entre les participants. Universitaires, chercheurs, conservateurs du monde entier ont brillamment rempli l’une des missions principales de cet événement international : renforcer la coopération scientifique à l’échelle mondiale.
Si la 30ᵉ édition de l’IPS s’est clôturée sur des éloges unanimes, on ne peut toutefois que remarquer l’absence totale des entreprises se revendiquant engagées dans le respect de l’environnement et du développement durable parmi les partenaires.
José Belalahy