
La capitale a de nouveau été paralysée par des embouteillages d’une ampleur inédite, suscitant l’exaspération des usagers. Le calvaire a été tel que de nombreux passagers des transports en commun ont préféré descendre en chemin, abandonnant leur trajet avant d’atteindre leur destination. Un parcours comme Analakely-Ankorondrano, habituellement rapide, a pris près de deux heures. Cette paralysie a d’autant plus surpris que le flux de circulation est censé être moins dense pendant les vacances scolaires et qu’aucun chantier routier majeur n’était signalé en ville. Le phénomène s’est intensifié aux heures de pointe, notamment sur les axes stratégiques tels que Behoririka, Antanimena, Ambodivona, Ankorondrano et Ivandry. Si les embouteillages ne sont malheureusement plus une nouveauté, l’absence de solution concrète et durable pour fluidifier le trafic continue de peser lourdement. Ces blocages incessants génèrent non seulement un stress important pour les automobilistes, mais aussi des pertes économiques significatives pour la nation. Il est désormais urgent de trouver des réponses pérennes, d’autant que l’approche de la saison des pluies risque d’aggraver encore la situation.
Narindra Rakotobe
Il y avait une réparation de route près de la station téléphérique hier.
Pertes économiques significatives pour la nation ,vous parlez sérieusement ????? mais à coté c est une manne financière
pour les compagnies pétrolières et ce n’est à moi de vous dire ,qui sont dèrrières Eux?????
Oui c’est ça ! ….et l’ environnement ? …e et la pollution ?