
La troisième édition des Assises pour la coopération décentralisée Madagascar-France a été officiellement lancée à Antananarivo hier. Elus locaux et partenaires français ont réaffirmé des engagements pour transformer la coopération en projets visibles.
Deux jours d’assises qui vont dessiner des priorités concrètes telles que la résilience climatique, l’énergie, les infrastructures et le renforcement des capacités territoriales. Les discours tenus hier à Ivandry ont mis en évidence une relance concrète des coopérations décentralisées axées sur plusieurs projets et domaines dont la réhabilitation d’infrastructures urbaines, des projets d’assainissement, la jeunesse, la rénovation ferroviaire et le soutien à l’agriculture. Une coopération ancienne mais réinventée qui met en avant la diversité de ces projets. Pour Alain Rousset, président de la région Nouvelle-Aquitaine, cette dynamique illustre « la montée en puissance » de relations ancrées dans la réalité du terrain, où ingénieurs, techniciens et élus travaillent côte à côte. A en croire celui-ci « à travers ces collaborations, la France voit aussi l’opportunité de tirer des enseignements de l’expérience malgache face au changement climatique et aux défis de résilience locale. »
Nouveau cap
Les discours prononcés hier ont convergé vers une même exigence, celle de faire de la gouvernance locale un levier central des transformations aussi bien pour Madagascar que pour la France. «Renforcer la gouvernance locale, c’est donc renforcer la capacité de résilience de nos régions et communes et assurer la sécurité et le bien-être de nos populations.», a rappelé le Président de la République Andry Rajoelina en rappelant les impacts dévastateurs des cyclones et des sécheresses qui ont frappé le pays. La signature attendue de nouveaux accords de coopération – de Roubaix à Cachan en passant par la Réunion – traduit la volonté de prolonger cet élan. Plus de réciprocité et d’impact direct des actions, de la création d’emplois à l’amélioration de la vie quotidienne, les deux parties s’engagent vers une coopération ancrée et réciproque. Promesses qui devraient se manifester par un suivi, une mutualisation davantage des financements et la mise en place des jeunes au cœur de toutes les actions.
José Belalahy
Ces Assises illustrent la volonté partagée de Madagascar et de la France d’approfondir une coopération décentralisée durable, pragmatique et bénéfique pour les populations. Gouvernance locale, infrastructures, énergie, jeunesse : autant de priorités qui traduisent un engagement commun pour renforcer la résilience et améliorer le quotidien
Depuis 1895 La France est dans les pattes de Madagascar malgré une indépendance en 1960, malgré la révolution de mai 1972, malgré d’innombrables tentatives d’ insurrection comme Mars 1947. Voilà une n-ième collaboration entre les deux pays. Pauvre Madagascar !
Et?
Votre « solution » !
Parole parole parole parole parooooooooleeeeeees!
VOLAAAAAAssssssss?
Zut envolées !
Veloma
Mahafinaritra ilay fihetsika toy izao ary misy manantena mafy mihintsy fa hiala any indray ny avandra ,nefa aza adino ary araho tsara ny vaovao ,fa fihetsika fanaon’n France amin’ny tany rehetra izao, koa aza manantena zavatra firy fa ny olana
ao anatin’France ary tsy voavaha nohon’ny tsy fahampiana etsy sy eroa ,mihetsika daholo ny hery velona rehtra ,ka asa raha mbola haharaka ny vola omena ny ivelany .
Vous dites : « 3è Assises ». Et les résultas et les impacts des Assises précédentes, on n’en parle nulle part. La CI nous valse toujours avec des Assises, des Conférences. On ose parler de la gouvernance locale mais d’après la LFI, les impôts locaux ne sont plus collectés par les CDT.