La tension politique ne cesse de monter dans la capitale. Hier, mardi 30 septembre, un nouvel épisode est venu illustrer la fracture grandissante entre le pouvoir et la rue. Vers 13h40, alors qu’il rejoignait son bureau à Anosy, le président du Sénat, Richard Ravalomanana, a été pris à partie par des manifestants à Ambatonakanga.
Selon des témoins, son véhicule de fonction, escorté, est passé devant des manifestants. Ces derniers, en colère, l’ont hué bruyamment à son passage. La scène a pris une tournure inattendue lorsque Richard Ravalomanana a stoppé son cortège, est descendu de sa voiture et a poursuivi à pieds les manifestants. « J’ai été insulté », a-t-il déclaré, justifiant ainsi sa réaction.
Cet excès de colère du président du Sénat, réputé pour son alignement sur l’aile dure des partisans du chef de l’État Andry Rajoelina, a rapidement circulé dans la capitale et est devenu viral sur les réseaux sociaux. Il témoigne du climat délétère qui règne actuellement, où chaque apparition publique d’une figure du pouvoir devient une épreuve de force avec des manifestants de plus en plus hostiles.
Si Richard Ravalomanana voulait affirmer son autorité face aux invectives, le geste de descendre de son véhicule et de courir après les contestataires a été perçu par beaucoup comme un signe d’exaspération. Dans une ville sous tension, ce genre d’épisode risque d’alimenter davantage la défiance.
Rija R.






Un petit de retour de bâton pour ce cowboy interressé que par ses vêtements de clown…honte à la fonction qu’il représente.
Même pas de Retenue.
Même pas de DIGNITÉ.
Un COMPORTEMENT DE VOYOU.
Pour un Président du SÉNAT, CÀ FAIT DÉSORDRE !!!!!!
Eh oui, un clown doublé d’un CONNAR déguisé et à qui il faut BOTTER les FESSES
Ces couilles sont bien plus molles qu’il paraissait selon des indiscrétions avec cet accoutrement korontamby ridicule !
» Dans une ville sous tension, ce genre d’épisode risque d’alimenter davantage la défiance. »
Cela dénote surtout de l’arrogance doublée d’imprudence ! Tout président du Sénat qu’il est, Richard Ravalomanana aurait pu être attaqué et lycnché par les manifestants.
En un mot, ceci prouve, s’il le fallait encore, que les personnes chargées de veiller au bien-être de ceux qui les ont élues vivent dans un monde parallèle, fait de luxe, et restes aveugles devant les souffrances et la pauvreté indicible de leurs concitoyens.
(Version revue corrigée!)
» Dans une ville sous tension, ce genre d’épisode risque d’alimenter davantage la défiance. »
Cela dénote surtout de l’arrogance doublée d’imprudence ! Tout président du Sénat qu’il est, Richard Ravalomanana aurait pu être attaqué et lynché par les manifestants.
En un mot, ceci prouve, s’il le fallait encore, que les personnes chargées de veiller au bien-être de ceux qui les ont élues vivent dans un monde parallèle, fait de luxe, et restent aveugles devant les souffrances et la pauvreté indicible de leurs concitoyens.
Vous avez bien résumé Rega Blick!!!
Que voulez-vous !!!!
D’un ÂNE on ne fait pas un CHEVAL de COURSE !!!
Un BABAKOTO RESTE UN BABAKOTO même si il met son Cul dans un SUV!!!