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jeudi, décembre 11, 2025
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Ils ont fait le buzz – Deals secrets : les coulisses sombres de la Jirama

La centrale de Mandroseza de la Jirama, objet du litige entre Zouzar Bouka et Symbion Power de Madagascar à New York. (crédit photo : Symbion Power)

Les dessous de la Jirama, notamment la centrale de Mandroseza, ressemblent à ces romans financiers à succès des « années cocaïnes ». Début décembre, dernier dénouement, un juge fédéral du district sud de New-York a confirmé la sentence arbitrale de 4 millions de dollars contre Symbion Power, société américaine, à verser à Zouzar Bouka ancien actionnaire minoritaire, citoyen français d’origine indienne et fondateur des sociétés VIMA et VIO. Le bonhomme est connu pour avoir tenté de grimper l’Everest en 2025, arborant le drapeau de Madagascar. L’affaire remonte à avant 2022, quand l’opérateur indien basé à Madagascar a porté plainte contre Paul Hinks, alors à la tête de la succursale malgache de la société américaine, d’avoir détourné 5 millions de dollars. Il a aussi soutenu que la vente des intérêts de Symbion Power au groupe Filatex était illégale. Filatex appartenant à une famille indienne, les Yavarhoussen. Ce qui est connu, c’est qu’entre la Jirama et Symbion Power, il s’agissait d’un contrat de concession de 20 ans. Dernière épisode en 2025, la sentence de 4 millions de dollars. Cependant, si le juge new yorkais a accordé la jolie somme à Zouzar Bouka, celui-ci s’est auparavant vu rejeter la demande de preuve sur la transaction avec Filatex. Bref, il y a de quoi écrire un roman financier où les ramifications entre businessmen indiens et État se jouent derrière le dos des contribuables gavés de délestage. Nom d’un maquereau dans un couvent, il s’agit de la Jirama tout de même. Et ce ne sont pas seulement les Indiens, le milieu des affaires national même d’intérêts publics suintent l’opacité et le vampirisme économique. En pensant au faciès satisfait de tout oncle affairiste de la famille sifflant qu’il n’y a pas de place pour les sentiments dans le business, de patriotisme encore moins. Par ailleurs, les citoyens ont peut–être l’air d’être des « imbéciles » au regard des dirigeants, d’hier et à ne pas espérer d’aujourd’hui. L’or, les sources pétrolifères, la vanille, les terres propriétés de l’État, les marchés publics… le Malgache lambda est éternellement « out ». Quoi qu’il en soit, ce ne sera pas demain la veille que les contribuables connaîtront la teneur des contrats passés entre la Jirama, Symbion Power et Filatex entre 2015 et 2022. Seule la toile permet aux pauvres « indigènes » du pays de savoir ce qui se passe loin de leur regard et des caisses de l’État.      

Recueillis par Maminirina Rado 

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1 COMMENTAIRE

  1. Et ces prédateurs (.osez les mots ) , continuent à trafiquer aux dépends des simples indigènes, vrais malgaches,
    CONSENTANTS et simples spectateurs, du peu qu’ils voient ou comprennent…!

    Ils racontent.qu’ ils ont franchir.l,’ Everest, le plus haut sommet du monde, en arborant le drapeau malgache!!! Et Zubka et famille sont applaudis bien.fort par la.jeunessemalgache restée au.sol (.dans tous les sens du terme !?)
    occupée à tourner en rond sur des places, ou selfant/conférences de presse dans des amphis d’universités devenus des lieux de délivrances debuzzs ( bien loin.des vrais savoirs dits universels dus aux Universités!).

    Une de leurs innombrables sociétés avait conclu(, .avec contrats ou pas avec le ministère.de.lenvironnemment d’une.epoque.pas.tres lointaine( dizaine d’annees).
    de planter des arbres TOUT LE LONG DE LA.NATIONALE 2 TANA-TAMATAVE,
    pour protéger cete Nationale définitivement des éboulements récurrents. A-ton vu des arbres plantés,et les problèmes s’intensifient actuellement EN PIRE, sur cette route , devenue un lieu.de ciirculation simple et banal comme dans tout le pays, objet de tous les buzzs et théâtre d’  » amusements  » des influenceurs(es) , alerteurs(es) , » journalistes » , politicards etc.
    Et ces français-d’ origine indienne,
    se battent entre eux, lesXhoussen du pays,
    comme à leur habitude,
    sans pitié entre eux, et laissent les baves à la bouche aux autochtones.

    Consentants, on le répète.
    Et gare à des concitoyens qui vont, peut-être, avec des travers, inhérents à tous les milieux d’ affaires du monde entier,
    d’essayer de dépasser , en chiffres ou en influence , dans le propre pays de leurs ancêtres tout de même…
    ces prédateurs, anciennement apatrides, nouveaux immigrants au pays
    ( qui eux ont les millions de Dollars faciles à jeter en pâture) et aveuglant toute morale.malgache,
    loin de toute ÉDUCATION
    et délaissant la considération personnelle
    pour actuellement et pour des dizaines d’ années , encore une fois )
    de Salegy ( un pas en avant,, DEUX pas en arrière !),
    pour les GENERATIONS futures.

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