Dans quelques heures, on dira adieu à 2025. Une année pleine de péripéties sur la scène politique surtout durant le dernier trimestre et une année quasiment vide sur le plan économique tout particulièrement pour le secteur privé. Avec tout ce que cela a eu et a encore d’impacts sur le « sosialim-bahoaka » pour reprendre un vocable pléonastique puisque le social se rapporte par nature à une société, à une collectivité humaine.
Bonne et Heureuse Année 2026
Lorsque les douze coups de minuit sonneront ce soir, même si ce ne sera pas au même moment à travers la planète, tout le monde (se) souhaitera une « Bonne et Heureuse Année ». Que 2026 apporte santé, bonheur, réussite, prospérité… Bref, on formule tous les vœux possibles et imaginables pour avoir une année meilleure, moins difficile que la précédente. Une nouvelle année placée réellement sous le signe du « fanovana » ou du « fanavaozana ». Peu importe le terme qui est d’ailleurs en passe d’être galvaudé, l’essentiel est que les choses changent réellement. Notamment dans les domaines de la politique et de l’économie qui sont étroitement liés car les décisions prises par les instances politiques ont une incidence sur l’économie. La santé de cette dernière est le reflet direct des politiques mises en œuvre, du succès ou de l’échec des nouveaux tenants du pouvoir. La politique et l’économie impactent l’un avec l’autre sur le social. Entre autres et non des moindres, sur la santé tout court. C’est dire qu’il ne suffit pas de se souhaiter bonne santé pour 2026, encore faut-il qu’il y ait des interactions positives entre la politique et l’économie. Que la première influe sur la seconde et vice-versa. En somme, que les politiques économiques stimulent la croissance afin de permettre aux agents économiques de disposer d’un meilleur pouvoir d’achat. C’est aussi un des vœux pour une « Bonne et Heureuse Année 2026 ». Une année inclusive qui ne laissera personne de côté, tant sur le plan politique qu’économique. Sans oublier le social.
R.O




Bof…..2026 ressemblera à 2025…..la population les pieds dans la merde,pas travail,un sous développement persistant.