Suite à l’article paru dans votre journal du 21 février 2015 intitulé « Milieu carcéral : la prostitution pour assurer la survie » écrit par le journaliste stagiaire Stéphane Pierrard, la Direction de la Communication du ministère de la Justice, tient à apporter les précisions suivantes :
D’après les recoupements que nous avons menés dans nos Etablissements pénitentiaires, les responsables ont souligné que les pratiques de phénomène « Baloma » et des relations sexuelles entre les co-détenus, comme ledit article les a évoquées, n’y existent pas.
En effet, le système de surveillance actuel des Etablissements pénitentiaires, ainsi que la séparation stricte des quartiers des personnes détenues Hommes et Femmes ne permettent pas, en aucun cas, de telles pratiques. Ainsi, nous tenons à attirer l’attention de vos lecteurs que cet article n’est pas fondé et risque de ternir lamentablement l’image de notre Administration. Toutefois, si de tels cas se produisent au niveau des Etablissements Pénitentiaires, l’Administration Pénitentiaire prendra sa responsabilité à l’encontre des auteurs et/ou complices desdits actes.