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samedi, juillet 19, 2025
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Municipalité d’Ambositra : Volasoa Andrianarivo, la nouvelle magistrate de la ville

« Le préfet d’Ambositra, Ravakiniaina Randrianaivo procédant à l’investiture officielle de Volasoa Andrianarivo. » (Photo Anastase)
« Le préfet d’Ambositra, Ravakiniaina Randrianaivo procédant à l’investiture officielle de Volasoa Andrianarivo. » (Photo Anastase)

Volasoa Andrianarivo, le nouveau maire de la municipalité d’Ambositra occupe désormais ses fonctions officiellement pour un nouveau mandat de quatre ans. La passation de service entre le maire sortant, le docteur Rakotoarison Philippe Berthin et le maire entrant, Volasoa Andrianarivo s’était déroulée dans une ambiance cordiale , le lundi 12 octobre dernier, suivie de la cérémonie d’investiture qui s’était faite le 14 octobre, présidée par madame le préfet d’Ambositra Ravakiniaina Randrianaivo, représentante du pouvoir central et qui évidemment a vu la présence du vice-président de l’Assemblée nationale Hary Andrianarivo entouré par les autorités locales.

Contexte. Volasoa Andrianarivo n’aura pas la tâche facile dans un contexte difficile que traverse le pays et dont les conséquences ne sont pas sans porter préjudice aux activités de la municipalité d’Ambositra, comme l’a fait savoir l’ancien maire Rakotoarison Philippe Berthin qui a déploré la dégradation de la mentalité de la population ne voulant plus s’acquitter de ses devoirs de citoyen responsable. Il en est de même du mauvais état des infrastructures dont devra hériter la nouvelle magistrate de la ville qui n’est pas sans s’en remettre à Dieu dans la multitude et la complexité des actions qu’elle devra, et son équipe entreprendre dans un mandat de quatre ans.

Mont d’Olivier. Au cours de ces dernières décennies, la municipalité d’Ambositra a dû faire face tant bien que mal à des évolutions majeures, résultant des tendances propres à ses caractéristiques intrinsèques, mais aussi liées aux mutations de la dynamique démographique ,économique et sociale. Les conséquences ont suscité une forte variation des besoins de la municipalité auxquelles les recettes propres de la municipalité n’étaient plus en mesure de faire face, sans l’appui du pouvoir qui lui aussi débordait. Emmenant ainsi, les « Ben’ny tanàna » à s’isoler sous le mont d’Olivier pour implorer la grâce divine et les partenaires financiers et techniques pour « des villes malagasy modernes, prospères et durables ».

Anastase

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