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mardi, juillet 1, 2025
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BEPC : Le calme pour Tana-Ville

Nombreux candidats ont affirmé avoir de l’espoir après avoir traité les deux premières matières au BEPC.
Nombreux candidats ont affirmé avoir de l’espoir après avoir traité les deux premières matières au BEPC.

Des absents ont été enregistrés, du côté des candidats et aussi du côté des membres du jury. Mais l’examen a quand même pu débuter sans incident majeur.

Le premier jour des épreuves écrites du BEPC (Brevet d’Etudes du Premier Cycle du second degré) s’est plutôt déroulé dans le calme pour la plupart des centres d’examen du Cisco Tana-Ville. « Aucun incident majeur n’a été enregistré pour aujourd’hui, à part les oublis de convocation, ou de carte d’identité scolaire faits par les candidats, presque tous les ans… », a déclaré Herizo Razanakoto, chef de centre dans le Lycée Jean-Joseph Rabearivelo à Analakely, là où 94 candidats sur les 1794 inscrits ont été marqués absents. « Contrairement à ce que pourront penser certains observateurs, lors de cette session, les absents ont été moins nombreux que ceux de l’année dernière qui ont été environ 200 candidats », poursuit ce chef de centre. Pour ce qui est du CEG de Betsimitatatra, il y a eu 45 absents sur les 1242 candidats inscrits. Mais là non plus, les problèmes habituels n’ont pas eu leur place, selon le rapport du chef de centre, Jocelyne Rakotoanosy. Le calme a donc régné partout à Tana, pour ce premier jour. Il reste à savoir si les autres jours à venir seront pareils.

Acceptés. A souligner que tous les candidats qui ne sont pas munis de leur convocation peuvent quand même passer leur examen, selon les explications émanant des responsables auprès du ministère de l’Education Nationale (MEN). « Ils peuvent être acceptés une fois qu’ils figurent dans la liste des candidats inscrits dans les centres d’examen », a d’ailleurs rajouté le chef de centre du CEG Betsimitatatra. Ce qui devrait rassurer les parents ainsi que les candidats eux-mêmes s’ils n’ont pas encore pu s’acquitter de leur frais de scolarité et n’ont pas de ce fait reçu leur convocation, comme ce qui se serait produit à Ambatondrazaka.

Satisfaits. En ce qui concerne le niveau de difficulté des sujets pour les deux matières lors de ce premier jour, bon nombre de candidats ont affirmé être satisfaits de la façon dont ils ont répondu aux questions proposées. « Pas comme l’on a toujours dit à propos de cet examen, j’ai trouvé que ce n’était pas si difficile que cela, surtout si l’on se base sur ce qui a été proposé en Malagasy », confie Nirina Raymond Prisca Nomenjanahary, une candidate âgée 13 ans, option A, au CEG Betsimitatatra. Un avis qu’elle partage avec certains de ses copains de classe qui composant dans le même centre d’examen.

Arnaud R.

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