
8 Circonscriptions Scolaires (CISCO) sur 114 ont publié, hier, les résultats complets du Brevet d’études du premier cycle. Ces CISCO donnent un taux de réussite de 51,06%.
Jusqu’à hier, les CISCO d’Ankazoabo, Mandoto, Soavinandriana, Antanifotsy, Ikalamavony, Beloha, Isandra et Ivohibe ont affiché les résultats complets aux épreuves du BEPC. A l’heure où ces chiffres ont été recueillis, c’est le CISCO d’Isandra , qui affichait le plus faible taux de réussite, avec 32,56% contre 43,37% en 2015. Il y a également le CISCO d’Ivohibe avec un taux de réussite de 32,95% cette année. Le taux d’admission le plus élevé, est par ailleurs enregistré à Ankazoabo, avec 62,17%. Pour les six premiers CISCO reçus, le taux moyen de réussite est de 51,06%. Recueillies auprès de 06 CISCO à faible nombre de candidats, car les résultats d’Isandra et d’Ivohibe ont été reçus très tard et n’ont pas encore été enregistrés dans ce pourcentage moyen, sur les 114, dont la plupart sont des agglomérations à fort nombre de candidats, ces premières statistiques ne permettent pas encore de tracer la tendance nationale.
Transcription pour Tana. Après les corrections, les transcriptions battent leur plein. Pour Tana, les transcriptions ont débuté hier matin. « Une double saisie des notes est effectuée pendant les transcriptions. Si les résultats ne concordent pas, le logiciel relève les erreurs, pour qu’elles soient corrigées. Une vérification physique, par échantillonnage, est effectuée, avant validation. Développé par le ministère, le logiciel de traitement des examens, a été testé par une centaine de techniciens. Il a été de surcroît amélioré et mis à jour, et offre ainsi une célérité de transcription, avec une grande fiabilité » rassure le responsable au sein du Ministère de l’Education Nationale. Les résultats, pour Tana sont prévus sortir dimanche au plus tard. Outre les tableaux d’affichage au sein des centres de correction où sont affichés les résultats officiels, ces derniers sont également consultables par SMS. « Ils sont envoyés selon leur disponibilité, et le flux d’arrivée des données, émanant des centres de correction et des CISCO », ajoute-t-il.
Nirina Rasoanaivo