Comme à l’accoutumée, le dernier-né des centres commerciaux de la capitale, Akoor Digue, organise une animation pour les jours marquants de l’année. Pour Halloween, une nouvelle séance de ciné-parking est prévue se tenir ce soir, pour les amateurs de sensation forte qui pourront regarder, « Dans le noir… », un film diffusé dès 20h. D’après les responsables, Akoor Digue prépare également une surprise de taille, avec l’installation du Labyrinthe de la peur, au 1er étage. Un parcours rocambolesque et effrayant qui s’ouvre aux visiteurs, sur 10 jours de frissons garantis. « Akoor Digue se veut être un centre commercial dédié à la famille. Il met un point d’honneur à satisfaire une large clientèle, tout âge confondu », indiquent les gérants du site. En effet, ce centre commercial dispose de plus de 50 boutiques de diverses spécialités, depuis le prêt-à-porter haut de gamme pour femmes et pour hommes, les vêtements, accessoires et jouets pour enfants, la maroquinerie de luxe, les bijoux, les chaussures sur-mesure ainsi que les articles cadeaux personnalisés.
Diversité. En outre, de grandes enseignes de banques, un espace de beauté et de bien-être, des espaces ludiques pour les enfants à l’extérieur comme à l’intérieur, un opticien, une pharmacie, une parfumerie, le Food-court et son bar ; ainsi qu’une grande surface, y sont présents. Les nouvelles technologies ne sont pas en reste, avec les plus grands prestataires de la place dont la réputation n’est plus à faire et qui présentent les dernières générations en high-tech, les abonnements aux télévisions par satellite. « L’allée qui borde le Food-court devient piétonne chaque fin de semaine et on a installé tables, chaises et parasols pour que les visiteurs fassent le plein de vitamine D en toute quiétude. En ce qui concerne le parking, nous pouvons accueillir jusqu’à 350 voitures », ont indiqué les responsables auprès d’Akoor Digue. Par ailleurs, ils ont annoncé que des festivités sont déjà prévues pour Noël qui y sera magique, célébré avec le 1er anniversaire de Akoor.
Antsa R.