L’ancien membre du CST, Alain Ramaroson, a répondu au commandant de la CIRGN, le Cl Florens Rakotomahanina, à propos du meeting qu’il aurait dû tenir, hier. « J’ai déposé une demande en bonne et due forme à la Préfecture de police», a-t-il signalé. Avant de continuer qu’il n’a pas eu gain de cause. En tant que « raiamandreny », il ne doit pas rester les bras croisés, a-t-il dit. Portant notamment sur le découpage territorial d’Antananarivo. Il a d’ailleurs l’intention de procéder à une descente dans la rue la semaine prochaine. Il a parlé aussi d’autres dispositions prises par le pouvoir central, à savoir la cybercriminalité qui n’apporte rien de bon pour le pays.
Dominique R.