Comme il fallait s’y attendre, le siège de la HCC à Ambohidahy a été quadrillé par les forces de l’ordre. Tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, la sécurité a été renforcée. Toutes les routes menant vers cette Institution ont été ainsi coupées. Par ailleurs, les journalistes ont été soumis à une fouille systématique, les caméras, les appareils photos et téléphoniques ont été interdits. Les cameramen et les photographes ont dû se contenter des photos prises au portail de la HCC. A cet effet, à part les députés, il n’y a eu que peu de gens qui ont pu accéder à Ambohidahy. Est-ce dû par mesure de sécurité ?
Dominique R.