Face à la situation qui prévaut à Ambohitrimanjaka, le HCDDED, le CNIDH et le CFM lancent un appel à l’apaisement. Une déclaration qui a été faite, hier, au siège de ce dernier. « Madagascar étant un pays démocratique, la violence n’a pas sa place, que ce soit du côté du peuple que du côté des forces de l’ordre » , ont-ils soutenu. Ils estiment en outre, que la communication reste insuffisante sur ce sujet. Ils invitent également le pouvoir central à suspendre le début des travaux et aux habitants d’interrompre leurs manifestations et de se concerter autour d’une table. L’objectif c’est de trouver une issue à ce litige.
Recueillis par Dominique R.