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jeudi, juillet 4, 2024
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Analyse et modélisation des risques : Madagascar appuyé par le Global Risk Modeling Alliance

Un atelier de planification et de préparation de la mise en œuvre du programme s’est tenu ce jeudi 21 et vendredi 22 septembre 2023 à Ambodivona.

La collaboration entre les deux parties a été établie et lancée au mois de février 2023. Le tout, dans l’optique « d’accroître les efforts pour combattre les effets du changement climatique et réduire les risques de catastrophes ».

Le comité stratégique du programme GRMA (Global Risk Modeling Alliance) a approuvé la demande d’assistance technique de Madagascar en matière d’analyse et de modélisation des risques. En effet, le programme « ouvre l’accès à l’expertise privée et publique en matière d’analyse des risques, contribuant à renforcer l’expertise locale et à donner aux communautés les moyens de devenir plus résistantes au climat et aux catastrophes ». Pour ce faire, l’équipe de GRMA va travailler « aux côtés des fonctionnaires et experts locaux dans les ministères et les mairies, afin de codévelopper et d’améliorer l’accès à la connaissance du climat et des risques de catastrophes, ainsi qu’aux normes et aux meilleures pratiques internationales ».

Du concret 

La collaboration entre Madagascar et ledit programme va se dérouler en deux phases majeures. La première sera intégralement soutenue par GRMA et se focalisera sur trois grandes activités. La modélisation des impacts macroéconomiques des chocs climatiques et l’appui à l’élaboration du Plan de prospérité climatique de Madagascar occupe la première étape de cette phase. L’élaboration du profil des risques multi-aléas plus performants vient après. Ces risques multi-aléas tiennent compte « du profil des risques déjà disponibles et des autres aléas majeurs pas encore pris en considération (sécheresse, glissements de terrain, érosion, feux, tempête de sable rouge dans le Sud, invasion acridienne…) ».  La mise en place d’une base de données unique pour mieux gérer et exploiter les données sur les aléas, les expositions, les capacités, la vulnérabilité, les dommages et pertes clôt la liste des activités inhérentes de la première phase.  Une deuxième phase pourrait être envisagée. Celle-ci serait toutefois conditionnée par l’approbation d’un financement supplémentaire de Global Shield ou des contributeurs de GRMA. 

José Belalahy

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