L’association « Amicale des anciens Conseillers supérieurs de la Transition et Sénateurs de Madagascar » (A.C.S) a tenu une conférence de presse, hier matin, au Radama Hôtel. Lors de cette rencontre avec la presse, les membres de cette association réclament, notamment, le paiement de leurs arriérés durant la période de Transition de 2011 à 2014. Ils ont brandi, à cette occasion, la communication verbale portant le n°187 bis 2022-MEF/SG/DGFAG/SAI du 10 mai 2022 qu’ils ont remis au Premier ministre. D’après leurs dires, ils n’ont pas eu gain de cause jusqu’à maintenant. Ils ne sont pas les seuls, ils ont cité, entre autres, la Kraomita Malagasy, la station de pesage et SECREN. Face à la situation qui prévaut dans le pays, l’ACS revendique la mise en place d’un « État d’urgence économique et social » suivi de ce qu’elle qualifie de « mesures exceptionnelles et audacieuses ». Pour ce qui est du bois de rose, l’ACS propose qu’une commission de gestion spéciale soit instaurée pour gérer la vente de ce bois précieux. Et les suggestions ne s’arrêtent pas là, car cette amicale propose également le retour de la société malgache SOLIMA ainsi que la mise en place d’une banque d’investissement malgache. Au vu de ces différentes déclarations, ces anciens membres du CST ne manquent pas d’idées mais l’on se demande pourquoi ils n’ont pas avancé ces suggestions plus tôt ?
Dominique R.
Pour répondre à la question :🗣
Il est à constater parfois que l’avenir est un lien commode pour y mettre des songes.