
Le Conseil Supérieur de la Magistrature a été reçu hier par le chef de l’État qui est de droit le président du CSM.
Intégrité
Le président de la République est pour la mise en place d’un système de sanctions positives au profit des magistrats qui font leur travail en toute intégrité, sans céder à la tentation de la corruption. « Je sais qu’il y a des magistrats justes, droits et intègres », a-t-il déclaré hier. En pointant du doigt les mauvaises pratiques et l’existence de magistrats corrompus. Le chef de l’État appelle le ministre de la Justice, Benjamin Alexis Rakotomandimby, et les membres du CSM à sanctionner les magistrats impliqués dans les affaires de corruption et qui prononcent des jugements qui vont à l’encontre des lois en vigueur.
Litiges fonciers
Le président de la République a même évoqué les nombreux cas d’injustice dans les affaires de litiges fonciers. Des cas faisant beaucoup de victimes et qui ternissent l’image de la Justice. C’était hier, lors de la rencontre entre le locataire d’Iavoloha et les membres du CSM conduits par le Secrétaire général, Marcellin Zafimihary. Il s’agit de la première rencontre entre les deux parties depuis l’élection de l’actuelle équipe du CSM au mois de décembre 2023. Une occasion de faire le tour d’horizon de la situation actuelle au niveau du corps de la magistrature, d’évoquer les réalités et les difficultés rencontrées par les magistrats dans l’exercice de leurs fonctions, mais aussi de se projeter vers l’avenir et mettre en place des stratégies pour redorer l’image de la Justice.
Justice impartiale
Garantir l’indépendance de la Justice, gérer la carrière des magistrats en prenant les décisions relatives aux nominations, promotions et affectations, exercer le pouvoir disciplinaire et veiller au respect de l’éthique et de la déontologie. Ce sont les principales missions du CSM. C’est certainement la raison pour laquelle le chef de l’État a choisi cette rencontre pour interpeller le Conseil Supérieur de la Magistrature par rapport à l’importance de l’instauration d’une justice indépendante, transparente et impartiale, garante de l’État de droit.
Critères
Afin que la Justice puisse regagner la confiance de la population, le président propose plusieurs critères que chaque magistrat doit avoir pour être nommé au niveau d’une juridiction, notamment le respect de l’éthique et de la déontologie. Selon ses dires, chaque magistrat nommé à un poste doit faire preuve d’intégrité en plus de la maîtrise des compétences. Par ailleurs, chaque chef de juridiction doit être connu et reconnu pour sa droiture et son sens du leadership. Le locataire d’Iavoloha propose aussi l’instauration d’un système de rotation afin d’éviter que des magistrats restent trop longtemps à un poste, et invite le CSM à prendre en considération une adéquation entre le nombre du personnel et les besoins d’une juridiction. Et de faire savoir qu’il n’a jamais fait et ne fera aucune pression ni aucune intervention pour influencer une décision judiciaire. Et ce, afin de garantir une Justice libre et indépendante. Une annonce confirmée par Marcellin Zafimihary qui a corroboré le respect strict de l’article 107 de la Constitution par le président de la République et non moins président du CSM.
Davis R




Et surtout juger tous ces élus et nantis du pouvoir dont leur dossier est à peine ouvert.
A méditer des blocages des députés
C’est ici le credo de nombreux simples citoyens depuis tant d’années dont beaucoup sont victimes de spoliations et de connivences malsaines et vénales.
Un vrai cri de détresse. Au Secours!!!
Le nombre élevé de dossiers fonciers auprès des tribunaux est révélateur d’un certain état de conscience des personnes en toge et sous serment.
Si aujourd’hui le sujet est devenu un vrai serpent de mer ,c’est qu’il y a un risque de voir cette mer se mettre en ébullition. Et voir tout bien mal acquis et titres factices et arrangés se laisser emporter par de la forte houle. Et ceci, en dépits des trucages en paperasseries de procédure malveillante.
Du pipeau ! Rainilainga devrait commencer par la sanction de deux procureures corrompues à savoir la première avec ses mensonges sur des aveux obtenus sans la présence d’avocat dans l’affaire d’intoxication alimentaire d’Ambohimalaza et la seconde celle au PAC qui affirme que Rainilainga et ses fils ne sont pas impliqués dans l’affaire des boeings 777 :autrement une violation du secret de l’instruction . Le TROLL ne voit que le bout de son nez pour constater les remblais sauvages à Laniera – IVato dont on soupçonne derrière le mafieux au villa Pradon !
Intégrité, transparence et impartialité : le président Andry Rajoelina met la Justice sur la voie de la confiance et du respect des lois
Des récitations bêtes et imbéciles d’un(e) mpisolelaka !
Lui??? Demander ça ???
Tsara ny hevitra saingy indrisy fa tsy ny magistrats ihany anie tompko no tokony ho henjehina e ,fa na aiza na aiza ,na inona ho hatao ?? na iza na iza hatonona dia efa voa daholo ary tsy laitra hahitsy intsony ,zavtra efa hiainana tsy afa
misaraka intsony hoy NYsasany koa aiza ary iza no hanombohana azy ????
Le titre de l’article est ÉVOCATEUR.
Lire : magistrats corrompus.
Aussi, parler de: intégrité, impartialité, transparence laisse dubitatif et paradoxal. Ces mots qui sont écartés avec intentions du code de procédures par les acteurs des faits eux-mêmes ont perdu leur sens et leur signification.
La malversation ! mère nourricière de la
pauvreté.Un édifice de nombreux artisans
Encore du FLOU et il y le LOUP derrière . De l’hypocrisie vide de sens . Le LARBIN n’ a pas entendu la procureure qui a justifié par le code pénal volomboasary la condamnation d’un chinois qui a tué 4 personnes lors d’un accident de voiture par homicide volontaire à seulement 2 mois d’emprisonnement et 40 millions d’ariary d’indemnités ? . Une insulte à la famille des victimes et c’est la justice corrompue de Rainilainga !