Face à la recrudescence des coupures d’électricité, Andy Rakotoarisolo, analyste des affaires nationales, alerte sur le risque d’instrumentalisation politique de la crise énergétique. Selon lui, le délestage est une souffrance partagée par tous, sans distinction. « Le délestage est une souffrance partagée par tous, moi y compris », a-t-il déclaré. Il ne s’agit pas seulement d’un problème technique, mais bien d’un problème social qui touche chaque foyer et chaque quartier de la capitale. Il assure que les plaintes de la population sont entendues, et le gouvernement se dit en quête de solutions durables. Dans ce sens, il a évoqué l’achèvement du pont reliant Antananarivo à Toamasina et l’arrivée prochaine d’un groupe électrogène de 103 mégawatts destiné à renforcer la capacité énergétique de la ville des Mille.
500 000 habitants
Andy Rakotoarisolo a rappelé que « la canalisation d’adduction d’eau d’Antananarivo date de 1958, à une époque où la ville ne comptait que 500 000 habitants ». « Aujourd’hui, nous cherchons toujours des solutions adaptées. Une canalisation de 64 km a déjà été mise en place pour atténuer les problèmes d’approvisionnement en eau », a-t-il précisé. Il a, par ailleurs, déploré que depuis le début des délestages en 2004, les gouvernements successifs n’aient pas pris de mesures structurelles. « Ils ont eu l’occasion de résoudre le problème, mais ils ne l’ont pas fait. Le gouvernement actuel a hérité de cette crise », a-t-il martelé.
Stabilité
Pour Andy Rakotoarisolo, il serait dangereux de transformer la souffrance des citoyens en argument politique. « Le délestage est très douloureux pour nous tous, mais il ne doit pas être utilisé comme instrument de propagande, ni comme tremplin pour conquérir des postes », a-t-il insisté. Il met également en garde contre certains acteurs qu’il accuse « d’appauvrir le peuple par amour du pouvoir ». À ses yeux, les Tananariviens sont suffisamment lucides pour ne pas se laisser manipuler. « Le développement national a besoin de stabilité, pas de chaos. Ce n’est pas dans la division que nous trouverons des solutions », a-t-il conclu.
Nadia R.




Le Pdt Delestage a peut être hérité des carences antérieures mais avec la transition il a plus 10 ans de pouvoir….donc aussi incompétent que ses prédécesseurs
Et on ne parle même pas de son 1er ministre,toujours silencieux sur les vrais dossiers intérieurs à gérer.
Vive la pagaille nationale
Encore un FAUX-CUL qui défend l’indéfendable . Ce lèche-cul n’ a qu’à voir les archives sur les promesses et les défis de Rainilainga en 2018 concernant les délestages . C’est trop facile d’accuser à tort les régimes successifs alors que c’est Radomelina qui gouverne depuis 16 ans avec les résultats qu’on connait !
AVIS À TOUS :
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LE PEUPLE MALAGASY EST FATIGUÉ.
Il ne veut plus de DISCOURS, des DISCUSSIONS Mièvres et Stériles accouchant en Permanence d’une Souris
L’heure n’est plus aux Palabres.
IIL VEUT : DE L’EAU POTABLE. En URGENCE
: DE L’ÉCLAIRAGE. EN URGENCE
LES AUTRES BESOINS VITAUX. : La SANTÉ. L’ÉDUCATION. L’INFRASTRUCTURE ROUTIÈRE. Et un minimum de prise en charge Sociale pour les plus Démunis.
BAREA, TÉLÉPHÉRIQUE, AUTOROUTE : c’est bien joli tout ça, mais ça NOURRIT PAS son HOMME.. ilyà des PRIORITÉS VITALES.
90/100 du peuple MALAGASY est en SURVIE.
ILYÀ VRAIMENT DANGER MESSIEURS DAMES
MADAGASCAR peut très bien s’en sortir sans Quémander et Tendre la SÉBILLE à droite et à gauche.
C’est une question de volonté Politique.
Il y’a encore beaucoup de Ressources sur l’île pour Nourrir tous les MALAGASY. ÉVITONS LES PILLAGES Venant de L’EXTÉRIEUR !!! ( beaucoup m’ont compris).
Sans une prise de Conscience Politique et un reiveille du peuple MALAGASY, MADAGASCAR finira comme le petit île de « NAURU ».
Retroussons les Manches et en avant tous ENSEMBLE.
LES VALETS, les TRAÎTRES. Les VENDUS et autres LÉCHES BABOUCHES, DÉGAGEZ.
VOILÀ.
LE FEU COUVE DANS LA CAZBAH mes amis.!!!!