Il est le gérant d’un concessionnaire de voitures de haut de gamme. Ce ressortissant indopakistanais (Karàna) a déjà été emprisonné à la maison de force de Tsiafahy pour des affaires d’escroquerie liées à la vente de voitures. Un petit détour sur les archives des médias imprimés montre l’arrestation et l’emprisonnement du Karàna en question en 2022. Son passage à la case prison n’était pour lui que de courte durée puisqu’il a bénéficié d’une liberté provisoire. Une décision judiciaire dont il aurait profité pour quitter le pays puisque selon les bruits qui courent, il serait depuis un certain temps à l’île Maurice pour évacuation sanitaire. Une pratique que les observateurs connaissent par cœur puisqu’il s’agit d’une magouille légale pour déguiser une fuite. Mais même à un millier de kilomètres du pays, il n’a pas perdu la main pour continuer son business, vendre puis récupérer l’objet vendu avec un montage de dossier de toutes sortes. Des opérateurs malgaches sont victimes et décident d’ester en justice en saisissant la brigade des recherches criminelles de la gendarmerie sise à Fiadanana. Ce qui étonne la partie civile malgache c’est que l’affaire avance à pas de géant quand c’est lui qui porte plainte. Un deux poids deux mesures sur lequel et pourquoi les plaignants invitent la justice à bien étudier l’affaire avant de prendre une quelconque décision. « Nous avons tous les papiers et actes légaux qui ont abouti aux transactions finales. Maintenant on nous retire la voiture sur fond de dossiers montés de toutes pièces. C’est après avoir mené nos petites investigations qu’on s’est rendu compte du lourd passé du Karàna. Il utilise le même modus operandi », a expliqué l’une des personnes spoliées, doublement victime des agissements de l’Indo-pakistanais puisque, non seulement il a perdu son argent dans l’achat de la voiture mais il est aussi en passe de la perdre car on lui ordonne de la restituer. « Dans cette saga judiciaire, le ressortissant indo-pakistanais n’a jamais été présent. Il ordonne juste son mandataire et dicte de là où il est ce qu’il faut faire. Nous sollicitons que la justice ordonne une confrontation entre les protagonistes de cette affaire », continue de conjurer les plaignants, des opérateurs malgaches.
D.R
La traçabilité des faits et le mode de procédé de l’intimé sont visiblement marqués par la perversion.
Tant que les « …ICES. » et leur bataclan restent complices, la roue motrice de la corruption pourra encore saluer bien des horizons.
C’est la tutrice ; plutôt, les tutrice !!!
Que fesait encore ce voleur ici à Madagascar ???? il aurait du être expulser …. Point barre …Place aux Honnête Etrangers .