Les limiers de la commission mixte d’enquête se penche actuellement sur la visualisation des enregistrements vidéos de l’attentat durant la fête de l’indépendance. Quelques médias qui étaient censés être présents durant l’événement ont même été priés de faire parvenir une copie des vidéos à la police judiciaire. Une mesure qui a semé le trouble auprès des médias vu la conjoncture actuelle de révendication contre le code de la communication. Plus de peur que de mal puisqu’après recoupement auprès de nos sources judiciaires, il s’agirait d’une demande de collaboration afin de faire avancer l’enquête sur cette affaire. Oui cette technique pourrait bien porter ses fruits afin d’identifier le ou les terroristes. Jusqu’à présent, nos enquêteurs continuent de percer sur l’identité de la personne en tenue de combat qui selon certains temoignages aurait lancé l’explosif avant de changer de vêtements pour se fondre finalement dans la foule. Quant à l’appel à témoignage, nos sources policières indiquent que les gens sont plutôt réticents pour le moment. La peur d’être impliquée après une révélation semble prendre le dessus. Aussi, la perquisition trop précipitée auprès des maisons des victimes, juste le lendemain de l’acte semble générer desfrustrations. L’appui des enquêteurs étrangers est très attendu pour tirer au clair ce crime de sang. Qu’on arrête le profilage d’usage qui ne mène à rien et se fier sur l’usage d’une haute technicité se basant sur la technologie. Il n’y a pas de miracle…
D.R
