Le Président Andry Rajoelina s’est rendu sur le terrain pour superviser l’avancement des travaux de construction de l’autoroute reliant Antananarivo à Toamasina.
La visite a débuté à Ambodifasina, au niveau du carrefour reliant la route de Tsarasaotra, marquant le PK0 de cette nouvelle infrastructure, avant de se poursuivre à Talata Volonondry. Accompagné du président du Sénat, du vice-président de l’Assemblée nationale pour la province d’Antananarivo, du ministre des Travaux publics, du gouverneur d’Analamanga et de diverses autres autorités, le chef de l’État a réitéré que les promesses faites devaient être tenues et que tout projet lancé devait être achevé. Ce premier tronçon, s’étendant sur 18 km entre Ambodifasina et Ambolo-Talata Volonondry, est le fruit de travaux entamés l’année remblais réalisés.précédente. À partir d’Ambolo, les travaux progressent également avec plus de 30 km de
Objectif
Le ministre des Travaux publics, Richard Rafidison, a assuré que l’objectif fixé par le Président – à savoir achever les premiers 80 km avant la fin de l’année 2025 – serait respecté. Cette autoroute de 260 km entre Antananarivo et Toamasina est destinée à offrir des avantages économiques et environnementaux, en réduisant la consommation de carburant pour les véhicules, notamment ceux transportant des marchandises, tout en diminuant les coûts de maintenance des véhicules et le temps de trajet. Pour les véhicules légers, la liaison entre les deux villes pourra s’effectuer en 2h30 une fois l’autoroute achevée. Ce gain de temps facilitera les échanges et augmentera le volume des transports. Par ailleurs, la sécurité routière sera également renforcée, réduisant les accidents fréquents sur la RN2.
Adhésion des populations locales
La visite du Président à Ambodifasina a attiré de nombreux habitants des localités voisines, tels que les résidents d’Ambatolampy Tsimahafotsy et Ambohimanga. Leur forte présence témoigne de leur soutien au projet. Avant le démarrage des travaux le 15 octobre dernier, une série de consultations publiques a été menée pour échanger avec la population sur les impacts du projet et les zones concernées, en veillant au respect des normes environnementales et techniques. Le tracé de l’autoroute évite les rizières après le PK3 et contourne également le site historique d’Ambohimanga Rova, classé patrimoine mondial.
Technologies modernes
Les travaux de construction sont réalisés par l’entreprise égyptienne SAMCRETE, spécialisée dans les infrastructures de grande envergure en Afrique. Pour accélérer le chantier, des équipements de pointe, tels que le FDR (Full Depth Reclamation), sont utilisés. Ce robot multifonctionnel permet de réaliser simultanément plusieurs tâches, telles que la stabilisation et le mélange du ciment avec le sol. SAMCRETE utilise également du géotextile pour renforcer la base de la route, assurant ainsi sa durabilité et sa résistance aux infiltrations d’eau. Ce matériau est appliqué sur les neuf premiers kilomètres à partir d’Ambodifasina. Bref, cette autoroute, symbole de modernité et de progrès, présente un espoir de croissance et de développement durable qui se trace, kilomètre après kilomètre.
Antsa R.
RAINILAINGA dans tous ses travers . Ce fieffé menteur a bien annoncé les 80 km pour fin 2023 . Les études d’impact environnemental ont été bâclées , les paysans n’ont pas été indemnisés à ce jour et les financements sont opaques . Certainement les fonds propres publics injectés depuis le début ont atterri dans des banques offshore . Président bis alias Pierre BLEUE au villa Pradon poussent au cul certainement RADOMELINA !
Bonjour à tous, et voilà, c’est reparti comme en 14-18. Le « mamimbahoaka » emmene tous en bateau. Je préfère « emmener en bateau » plutôt que « faire avaler des couleuvres ». Mensonge sur mensonge et le monsieur, ignare qu’il est, fait la risée de tous (tout le monde rit tout bas. Madagascar refuse la démocratie, malgré qu’on le crie si fort. On est hypocrite medames et messieurs les diplomates). Et voilà une promesse de plus. Le mamimbahoaka reste sans scrupule. Il aime les cosmétiques et les beaux discours (sait-il ce dont il parle? Je crois que non!) Je me tue à dire qu’aucun domaine, à M/Car, est sur les rails. Ce gouvernement « casse » et ne cesse de « casser » des personnes physiques et morales, mais est incapable de créer. Aucune industrie depuis qu’il (mamimbahoaka) n’a été créé. SVP, faites l’état et vous m’en direz des nouvelles. Je sais de quelle école ce mamimbahoaka est sortant (Ecole de mensonge, comme il s’est plu à dire), en tout cas pas de l’ENA, ni de la Centrale, encore moins des X ou autres grandes écoles même locales et on s’étonne où il nous entraîne. DANS LA M….E. (quand je dis « mamimbahoaka », il s’agit de lui et de sa clique, qui se connaît)
Le pays est dans la m*rde jusqu’au cou, et ce président débile continu à dépenser des milliards dans la vanité.
la population est du côté du Pdt……..affirmation bien démentie par des médias étrangers qui informent également le désastre écologique et surement économique de ce projet surement pas une priorité du pays actuellement
Avec un parc circulant de voitures très anciennes et en défaut de maintenance je crois qu’il y aura pas mal d’accidents, pas mal de pannes et entrainera facilement la course entre chauffeurs de taxi brousse comme il arrive déjà souvent surtout la nuit.
Et de surcroît je pense que l’accès ne sera pas gratuit et donc le coût retombera sur les usagers comme partout.
Et l’ entretien que sera obligatoire si on voudra garder l’efficacité de la structure devra se faire avec des matériels performants et durables pour ne pas avoir une route parsemé de trous tel que les actuels RN !!! Et les coûts ???