
Coup d’envoi en grande pompe, samedi, pour le Big Soma 2017. Logique quand les organisateurs ont porté leur choix sur une très grosse pointure pour ouvrir le bal, en l’occurrence de Lôla. Un très grand Lôla qui a mis le feu au village touristique de Mahajanga après que le groupe local La Sainte, a réussi à préparer l’ambiance.
Ce fut donc un village touristique noir de monde qui a accueilli l’ouverture de Big Soma qui va un peu changer son fusil d’épaule après le succès des précédentes éditions. En l’absence du président fondateur de l’association, Orlando Robimanana qui ne sera sur place qu’à partir de lundi, c’est le coordonnateur national, Nirina Thierry Ramandimbiarisoa qui en parle avec un brin d’optimisme mais également une motivation décuplée par cette présence massive de la foule.
« Pour cette année, nous allons mettre en avant le social pour se rapprocher davantage de la masse et tenter de lui apporter le soutien nécessaire à son épanouissement », explique-t-il. Avant de poursuivre que c’est la raison pour laquelle tous les « fokontany » de Mahajanga ont été sollicités pour présenter au beach soccer, car le sport reste évidemment un des moyens le plus rassembleur.
Comme Big Soma veut ratisser large, le beach volley interentreprises puis en open figure aussi au programme où le must est ce championnat de la zone 7 au basket-ball 3 x 3 et qui va regrouper du 18 au 20 août, toutes les îles et riverains de l’Océan Indien.
Côté culturel et après ce succès de Lôla et de La Sainte, Tence Mena et sa fougue clôturera en beauté Big Soma 2017 le 20 août. Elle va partager la scène avec Arione Joy au cours d’une soirée où on aura aussi droit à l’élection de Miss et Mister.
Clément RABARY



