
«La saison des pluies est loin d’être terminée. Le pays pourrait faire face à des catastrophes naturelles de type cyclone dans les mois qui viennent. La prévention est donc de mise pour limiter les pertes aussi bien matérielles qu’humaines». Ce sont les propos du secrétaire exécutif adjoint auprès du Bureau national de Gestion des Risques et Catastrophes (BNGRC) lors d’une interview effectuée à l’hôtel Le Panorama hier. Le Gal Charles Rambolarson de faire savoir que l’organisme de gestion des catastrophes entend emprunter le même chemin que d’autres acteurs. C’est-à-dire en se penchant sur le volontariat. 30 volontaires ont – dans cette optique – été recrutés pour appuyer les actions d’intervention du bureau dans les différentes régions de l’île. Une initiative qui ne va pas porter ses fruits sans renforcement des capacités des personnes concernées. Une formation de deux jours a donc été organisée pour permettre aux 30 volontaires d’être opérationnels une fois relâchés sur le terrain. Différents modules ont été abordés pour une meilleure appréhension des rôles et responsabilités qui leur incombent une fois le moment de vérité venu.
José Belalahy