
L’équipe a vécu des moments inédits et réalisé un travail exceptionnel réparti sur 5 jours sur l’île aux parfums. Ils ont notamment tenu à mettre en valeur la facette « nature, culture et roots » de Nosy-Be qui contraste un peu avec sa réputation régulièrement rabâchée de ville « jet-setteuse ». Trekking dans la réserve de Lokobe (où ils ont également fait la rencontre de la faune endémique : le lémurien Rocebus, le mantella) et immersion totale dans la vie de la population locale étaient au programme. Les autochtones étaient d’ailleurs très impliqués et enthousiastes dans cette rencontre interculturelle. Malagasy Roadshow (l’équipe) a en effet pu expérimenter ce qu’est la « mozika misy fanahy » selon les dires de la réalisatrice. Ce n’était pas du salegy ou du kawitry à tout va, mais une toute autre musique s’orientant plutôt vers le wadra. Les instruments étaient exclusivement confectionnés de manière artisanale, notamment la guitare sans case, mais à 6 cordes !