Le processus d’adoption du système LMD constitue l’une des conditions nécessaires pour être compétitif avec les autres universités, en particulier avec celles de la région d’Afrique et de l’océan indien, selon l’économiste Dr Rado Ratobisaona.
La mobilité entre dans les critères de performance des universités. C’est ce que soutiennent les membres du Groupement National des Experts et des Professeurs des Universités pour le Développement (GNEPUD) . D’après Dr Rado Ratobisaona, membre de ce Groupement, la mobilité des enseignants se caractérise non seulement par le partage d’expérience mais surtout par la notoriété des enseignants par rapport à leurs spécialités respectives. « En ce qui concerne la mobilité des étudiants, elle constitue une opportunité de voyage, de découverte culturelle, relationnelle et de partage », a-t-il soutenu, lors d’une rencontre avec les représentants des médias. Par conséquent, il s’agira de mobilité de fait à deux sens selon l’accord de partenariat d’une université avec les autres universités du monde.
Ouverture
L’économiste Dr Rado Ratobisaona, non moins enseignant auprès des universités, soutient également le développement accéléré des plateformes numériques universitaires, en plus de l’ouverture de l’université avec le reste du monde. Pour lui, Madagascar est contraint de soigner sa visibilité dans ce contexte. La plupart des enseignants chercheurs malgaches sont issus des grandes universités prestigieuses du monde. Leurs compétences académiques et techniques ne font aucun doute par rapport à leurs paires de l’étranger. Toutefois, l’enseignement est un sacerdoce. Cela constitue la deuxième motivation des enseignants chercheurs après le patriotisme qui les anime dans une perspective de changement et de transformation structurelle pour le développement, selon toujours l’économiste. « L’enseignement supérieur et la recherche scientifique doivent être un choix rationnel pour celle ou celui qui l’exerce, par rapport à tant d’autres métiers, mais non pas un corps de métier pour semer le trouble et être un mauvais exemple moral et comportemental. En effet, la venue des missionnaires enseignants chercheurs issus des universités des horizons différents s’avère nécessaire pour pouvoir ensuite bénéficier des partenariats et des contrats de mobilité des enseignants et étudiants malgaches dans le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche. On exige dans ce cas la culture d’excellence et le professionnalisme dans une perspective d’avenir meilleur », a affirmé le représentant du GNEPUD. Bref, il soutient l’utilité de l’ouverture, de la mobilité et des échanges internationaux au niveau des universités.
Antsa R.
Oui, oui…avec 0,1% du budget total pour la recherche scientifique, soit – d’après MM- 3% pour l’enseignement supérieur ! Rien que des grands mots (maux), de grandes idées , des fumisteries rajoeliniennes , genre le crapaud et le bœuf . Résultat des palabres et autres itérations : rien !
Au lecteur de MM , point de méprise quant à mon impertinence au regard de toutes ces éminences et excellences . C’est juste qu’on a mal au ventre devant tant d’inefficacité publique assumée , revendiquée , claironnée , alors que Madagascar a tout et même davantage encore …pour être un (le) paradis sur terre .
HANAO INONA MOA RAHA TSY MISY NY VOLA, NY TAMBY KARAMA NA NY KARAMA MIHITSY NY MPAMPIHANATRA SASANY AZA TSY VOALOA, SISA RESA-BE FOTSINY